Née à Londres, non loin de Kensington, elle démêle le vrai du faux sur la famille royale britannique, mais pas seulement. La reine Maxima des Pays-Bas, la reine Letizia d'Espagne et la princesse Victoria de Suède sont aussi ses copines. Quand les têtes couronnées ne sont pas de sortie, Rachel patiente en décryptant volontiers les tapis rouges, les premiers rangs des défilés.
Les Sussex tenteraient-ils d'adoucir leur relation avec la reine suite au Megxit ? Lors d'une nouvelle visioconférence avec des membres du Queen's Commonwealth Trust organisée cette semaine, le prince Harry et Meghan Markle ont rappelé leur attachement à Elizabeth II...
Bien qu'ils aient quitté la monarchie britannique pour s'installer en Californie, le prince Harry et Meghan Markle restent les président et vice-président du Queen's Commonwealth Trust. Récemment, depuis leur nouvelle villa de Santa Barbara, le duc et la duchesse de Sussex ont pris part à une visioconférence avec plusieurs jeunes leaders pour parler positivité dans le monde digital. Une discussion virtuelle dévoilée ce 20 août 2020.
Lors de cet échange par écrans interposés, Meghan Markle a confié n'avoir jamais entendu parler de cette organisation avant sa rencontre avec le prince Harry en 2016. L'ex-actrice de 39 ans a notamment affirmé à son mari qu'elle était "incroyablement fière" de travailler pour le Queen's Commonwealth Trust et de continuer ainsi "l'héritage de ta grand-mère". Des compliments qui ne passent pas inaperçu quand on sait à quel point la relation entre les Sussex et la reine Elizabeth II a souffert du Megxit... En juillet dernier, lors d'une précédente visioconférence avec d'autres membres de cette organisation, le couple s'était laissé aller à un commentaire sur l'attitude du Commonwealth vis-à-vis de son passé colonial, envoyant ainsi une pique à la reine qui se trouve être... à la tête du dit Commonwealth !
Bien plus neutres en ce qui concerne l'histoire du Commonwealth cette fois-ci, les parents du petit Archie (1 an) ont également évoqué la crise sanitaire et le besoin d'entendre des expériences positive en ligne : "Le bien-être mental et émotionnel de chacun est peut-être plus fragile que jamais, certainement avec le coronavirus et notre appui sur les appareils connectés en ce moment, en l'absence d'interaction humaine. Les gens se connectent plus que jamais pour avoir le sentiment de faire partie d'une communauté."