Iris Mittenaere n'a plus la langue dans sa poche ! L'ancienne Miss France et Miss Univers est aujourd'hui, plus que jamais, prête à utiliser sa voix pour tenter de faire changer les choses. La chérie de Diego El Glaoui a notamment eu son mot à dire concernant le comité qui lui a permis d'être élue reine de beauté en 2015 après que celui-ci ait été vivement critiqué pour avoir écarté Anaëlle Guimbi de l'élection Miss Guadeloupe le 21 août dernier.
Lors d'une interview pour le Parisien, Iris Mittenaere s'est d'abord dite "choquée" de la disqualification sévère de cette dernière pour avoir posé topless dans le cadre d'une campagne pour la lutte du cancer du sein. C'est la première fois que la jolie brune réagit ainsi à la polémique qui enfle, justifiant son silence d'une bien étrange manière. "Contrairement à d'autres Miss, je n'ai pas voulu faire du buzz dessus", explique-t-elle, préférant alors se renseigner avant toute autre chose : "J'ai appelé Sylvie Tellier, qui a mis en avant le règlement même si ça part d'une dénonciation mal intentionnée. Si l'élection avait eu lieu, les autres candidates auraient pu faire un recours juridique pour l'annuler. C'est énormément d'argent en jeu". Comment alors ne pas penser à Alexandra Rosenfeld, qui était l'une des premières à s'exprimer très publiquement sur le sujet ? Y-aurait-il de l'eau dans le gaz entre les deux jeunes femmes ?
Reste qu'elles s'accordent tout de même sur un point : le règlement du comité Miss France doit changer. "Qu'on supprime la partie sur les photos dénudées, à condition qu'elles ne soient pas à caractère pornographique. Tout comme celle sur la taille minimale imposée de 1m70 ou celle sur les tatouages. Même la chirurgie ne devrait pas être un frein, notamment pour ouvrir le concours aux transgenres", demande Iris Mittenaere.
Des changements importants qui pourraient éviter de tels scandales et d'autres évictions injustifiées. Iris Mittenaere sait de quoi elle parle puisqu'elle aussi aurait pu se retrouver à la place d'Anaëlle Guimbi à l'époque où elle était encore prétendante au titre. Elle fait alors référence à certaines candidates "prêtes à tout", même à écraser leurs concurrentes. "C'est parfois l'enfer en coulisses. Même à mon époque, Sylvie a reçu des courriers disant que j'avais des faux seins, un faux nez", se souvient-elle. En espérant que ses propos soient entendus par les bonnes personnes... Rappelons toutefois qu'Annaëlle Guimbi s'est vue proposer une nouvelle chance par le comité en ayant la possibilité de se représenter l'année prochaine. Proposition qu'elle a décliné.