Après une jeunesse brûlante, Nathalie Rheims a avoué au magazine Le Parisien que sa vie torride a pris fin.
Et pour cause, celle qui raconte, dans son dix-septième roman, Place Colette, sa liaison avec un célèbre comédien français plus âgé, a la libido en berne depuis qu'elle est ménopausée. "La ménopause n'est pas une vue de l'esprit, il y un avant et un après. Je ne suis plus la même. Je n'ai pas peur de dire que les hommes ne m'intéressent plus", a-t-elle lâché lors d'une interview en toute sincérité.
L'ex-compagne du regretté cinéaste et producteur Claude Berri puise désormais son plaisir ailleurs, puisqu'elle a trouvé calme et sérénité auprès de ses nombreux animaux. "Les animaux m'apportent tant de bonheur, a-t-elle expliqué. Sans mes deux ânes, Brigitte et Alphonse, ma dizaine de poules, qui ont des prénoms d'écrivains, et mon chien, Paul, un shiba inu, je me sens mal. J'ai un besoin de contact physique avec eux."
Comme un retour aux sources, Nathalie Rheims réside de nouveau en Corse, où elle a grandi. Elle y mène une existence sage et moins charnelle qu'à l'époque la plus sulfureuse de sa vie, entourée de ses nombreux animaux et notamment son superbe chien, que lui a offert son défunt compagnon sur le tournage de son dernier film, Trésor.
"Régulièrement, je m'accorde un temps sans télévision ni radio. Le monde dans lequel on évolue est trop bruyant, on ne s'entend plus soi-même. C'est pourquoi mon téléphone portable est coupé les trois quarts du temps. Si l'on cherche à me joindre, on peut toujours s'adresser à mon éditeur, qui saura où me trouver", a-t-elle conclu. A bon entendeur...
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Nathalie Reims dans le magazine, Le Parisien, en kiosques cette semaine.
Coline Chavaroche