En voilà deux qui ne sont pas prêts de passer leurs vacances ensemble. Depuis quelques mois, Orianne Cevey mène une guerre sans fin à son ex, Phil Collins. Après avoir squatté sa maison illégalement avec un nouveau mari et accusé le chanteur de ne jamais prendre de douche, la business woman occupe ses journées à revendre plus ou moins légalement les affaires de l'artiste. Et cette dernière serait en train de se faire un sacré pactole - pendant que vous revendez vos vieux pull sur Vinted, en négociant sec pour ne pas baisser vos prix.
Orianne Cevey prépare une deuxième vague commerciale puisqu'elle s'occupe de se débarrasser, cette semaine, de nouveaux objets de luxe. Selon les informations de la Kodner Galleries, qui s'occupe de ces transactions, une nouvelle enchère prendra place le mercredi 3 mars 2021 et devrait rapporter à l'ancienne compagne de Phil Collins pas moins d'un million de dollars. Inclus dans la liste des affaires à acquérir : une récompense reçue par le chanteur pour son album Testify, un International Rock Award obtenu en 1989, et un nombre incalculable de sacs à main de designers, des bijoux - dont une bague de fiançailles Tiffany - et des chaussures.
Elle possède 5000 paires de chaussures et n'a que deux pieds
Elle ne cessera donc jamais de faire des bénéfices ! En récupérant quelques babioles de Phil Collins, Orianne Cevey avait déjà fait péter les enchères et remporté, lors d'une première salve de reventes, pas moins de 2 millions de dollars. "Elle déménage dans une maison plus petite, expliquaient ses représentants à Page Six. Alors elle vend les affaires qu'elle ne porte plus. Après tout, elle possède 5000 paires de chaussures et n'a que deux pieds. Elle ne peut pas toutes les porter !" La fortune amassée par Orianne rattrape, peu à peu, les 50% du prix de la propriété de Miami Beach qu'elle réclamait à son ex - bien qu'elle ait déjà obtenu 46,68 millions de dollars au moment du divorce pour s'occuper de Nicholas et de Matthew, les enfants qu'elle a eu durant leur mariage. Le proverbe disait donc vrai : rien ne sert de courir, il faut partir à point...