Alors que son année 2021 avait été plutôt correcte, avec la naissance de sa fille cadette Lilibet en juin, le prince Harry a connu une année 2022 bien plus... compliquée ! Plongé dans une guerre avec la famille royale (et plus particulièrement ce qu'il appelle "la Firme"), le mari de Meghan Markle a vécu de nombreux moments de tension, notamment lors de ses retours au Royaume-Uni.
Et notamment à l'occasion du jubilé de platine d'Elizabeth II, en juin ! Alors que le frère du prince William n'a plus posé un pied en famille dans son pays depuis son départ fracassant fin 2019, il annonce à la surprise générale qu'il sera présent, comme les autres membres de sa famille, pour fêter les 70 ans sur le trône de sa grand-mère adorée, Elizabeth II. Arrivé avec Meghan Markle et leurs deux enfants, Archie (3 ans) et Lilibet (1 an), il veut également que sa fille rencontre la reine.
Mais cela ne se passera pas comme prévu, puisque selon les médias britanniques, Elizabeth II aurait refusé qu'une caméra ou qu'un photographe accompagne son petit-fils et ne lui aurait accordé que quinze minutes pour voir le bébé. Pire encore, le prince William et Kate Middleton, invités à la petite fête d'anniversaire de Lilibet au Forgmore Cottage, auraient refusé de s'y rendre et d'y amener leurs enfants...
Car les deux frères sont bien en guerre ouverte : depuis les accusations du prince Harry chez Oprah Winfrey, son aîné refuserait en effet de lui parler en privé pour éviter les fuites de ses propos dans la presse. Et n'aura pas à le faire pendant le jubilé, puisque la reine refuse qu'Harry et Meghan montent sur le balcon pendant Trooping The Colour, au contraire de William et Kate, membres seniors de la monarchie. Lors de la messe à la cathédrale Saint-Paul, le lendemain, les deux frères s'évitent au maximum. Le prince Harry, vexé, arrive sous les sifflets de la foule, il repartira dès le dimanche, avant même la fin des célébrations et refusera de se rendre en famille à Balmoral l'été, où la reine l'avait invité.
D'ailleurs, alors que le couple de Sussex est attendu en Grande-Bretagne début septembre pour une série de conférences, il ne prévoit pas de passer par Londres ni de voir la famille. Mais un événement survient : le 8 septembre, les nouvelles d'Elizabeth II sont mauvaises. Ses enfants se rendent à son chevet, suivis par le prince William puis le prince Harry, qui arrive trop tard pour un dernier adieu à sa grand-mère.
Obligé de rester en Grande-Bretagne jusqu'aux obsèques, le 19 septembre, le fils cadet de Charles III aurait passé pendant cette période un pacte de non-agression avec sa famille, notamment son frère avec qui il effectue même plusieurs sorties officielles. Si les relations sont visiblement toujours tendues, les deux hommes font des efforts.
Efforts récompensés par l'autorisation délivrée à Harry de remettre son uniforme lors de la veillée des petits-enfants. Mais c'est un autre moment des obsèques qui bouleverse littéralement le prince Harry : défilant derrière le cortège dans les rues de Londres, comme son frère et son cousin Peter Philips, il revit un moment de son enfance, exactement vingt-cinq ans plus tôt, lorsqu'il avait été forcé à faire la même chose après la mort de sa mère, Lady Diana.
Reparti pour la Californie depuis, le fils du roi Charles III se fait discret, la réconciliation semblant toujours possible avec sa famille. Mais cela dépendra de deux sujets capitaux : ses mémoires, Spare, qui seraient redoutées par la famille royale pour leurs révélations explosives et une série Netflix que ses fans attendent avec impatience...