Serena Williams aurait-elle trouvé le grand amour ? C'est ce que l'on pourrait penser au vu des récentes photos sur lesquelles on voyait l'Américaine très proche et très intime de son coach français, Patrick Mouratoglou... Mais ce dernier préfère rester ambigu sur la nature véritable de leur relation.
Tous deux entretiennent une relation très professionnelle depuis la cruelle désillusion de Serena Williams à Roland-Garros. Depuis, la joueuse aux 15 victoires en Grand Chelem a enchaîné les victoires, Wimbledon, Jeux olympiques et US Open. Tout ça grâce à ses longs séjours à l'académie Mouratoglou de Thiverval-Grignon dans les Yvelines ? A priori oui.
Mais l'amour ne donnerait-il pas des ailes à la jeune femme qui, avant d'échouer à Roland-Garros, assurait sortir d'une douloureuse séparation ? Sa transformation physique ne serait-elle pas liée à un amour retrouvé ? Dans les colonnes du JDD, Patrick Mouratoglou esquive : "Les gens sont libres d'interpréter les choses comme ils veulent. Je n'ai pas envie de démentir ni de confirmer. C'est ma vie privée."
Soit. Sauf que deux lignes plus tard, il semble confirmer la liaison qu'il entretiendrait avec Serena Williams lorsqu'il évoque l'éventuelle influence de cette relation sur son travail. "Oui, ça se mélange. Et alors ? Des exemples de ce type sur le circuit, je pourrais en citer dix. Pour certains (couples, NDLR), cela a marché, avec même parfois un mariage et la réussite à la clé. Pour d'autres, non", explique le coach... Alors, ensemble ou pas ensemble ? "On verra si Serena communique...", botte en touche le coach.
Un coach qui fait tout de même un excellent boulot avec sa protégée, laquelle a enchaîné 26 victoires pour une seule et unique défaite depuis le début de leur collaboration. Pourtant, l'homme est peu disert sur cette collaboration : "Ce qu'elle fait à l'entraînement et en dehors, très peu le savent. Alors, même s'il n'y a pas de directive de sa part, je dois adapter mon monde de communication à celui de ma cliente. Je ne m'exprime pas de la même manière quand j'ai Aravane (Rezaï) ou Serena." Pas question cependant de la traiter comme une star. "Si un coach fait ça, ce n'est plus un coach", confie Patrick Mouratoglou, tout en reconnaissant qu'il ne s'adresse pas à elle comme à une pensionnaire lambda de son académie : "En l'occurrence, il faut que je sois plus souple."
Il est vrai qu'il est difficile d'être strict avec la femme qui partage votre vie...