Dans la guerre qui oppose Shakira à son ex, Antonio De La Rúa, il semblerait bien que la bomba latina vienne tout juste de marquer un autre point. Attaquée en justice par son ancien boyfriend (avec lequel elle est restée pas moins de dix ans, de 2000 à 2010) qui lui réclame aujourd'hui une part de sa fortune, la chanteuse de 36 ans aurait la preuve écrite que ce dernier n'a jamais officiellement pris part à ses décisions professionnelles.
C'est pourtant ce qu'assurait Antonio De La Rúa, fils de l'ancien président argentin : d'après lui, il aurait grandement contribué au succès de la star d'origine colombienne, l'ayant conseillée en tant que manager sur ses choix de carrière à la suite d'un accord oral passé en 2004 - ce qui lui permettrait aujourd'hui de toucher une partie de sa fortune (il demande le quart d'un milliard de dollars)
Faux, archifaux rétorque la principale intéressée. Selon TMZ, Shakira (maman d'un petit Milan né de son union avec le footballeur Gerard Piqué) a en effet retrouvé dans ses vieux e-mails un message d'Antonio De La Rúa envoyé en 2001, dans lequel il écrit noir sur blanc n'avoir joué aucun rôle dans la notoriété de la chanteuse : "Je ne suis pas partenaire dans aucune de tes compagnies. Tu es la seule et unique propriétaire de toutes", peut-on y lire rapporte le site.
Voilà qui risque fort de mettre à mal les allégations du camp d'Antonio De La Rúa, qui, décidément n'en finit pas d'être ridiculisé par la bombe latine. Si l'Argentin (qui depuis a refait sa vie avec le mannequin colombien Daniela Ramos) l'ignorait encore, qui se frotte à Shakira, s'y pique. Ne surtout pas se fier à ses airs angéliques, quand l'actuelle jurée de l'émission The Voice US est attaquée, elle sort les crocs et son ex est vraisemblablement parti pour en faire les frais.
Dans les papiers obtenus par TMZ, Shakira indique également qu'en 2006, le couple avait d'un commun accord décidé d'ouvrir un compte sur lequel a été déposée la modique somme de 1000 dollars à partager en cas de rupture. Une sorte d'arrangement prénuptial dont le but, précisément, était avant tout d'éviter un éventuel procès comme celui qu'Antonio De La Rúa a intenté. L'affaire devrait revenir devant un juge courant de ce mois de juillet.