Pour le deuxième numéro de S, Sophie Davant (57 ans) a souhaité poser avec une femme chère à son coeur pour la couverture : sa fille Valentine (25 ans, née de son ancienne union avec Pierre Sled). Les deux femmes se sont ensuite longuement confiées en interview, l'occasion de découvrir que ce n'était pas tous les jours simple pour les enfants de la présentatrice de France 2 à l'école, à cause de la célébrité de leurs parents.
Valentine a toujours suivi de près la carrière de sa maman. Régulièrement, elle se rendait sur les plateaux de télévision ou a travaillé avec elle sur M Radio. Elle l'aidait à préparer ses interviews ou écrivait ses lancements pour l'émission Ravie de vous rencontrer. Ce n'est donc pas très étonnant qu'aujourd'hui, la belle blonde travaille dans le milieu de la production télévisée. Elle est également sous le feu des projecteurs pour avoir lancé sa chaîne culinaire sur YouTube.
Si aujourd'hui, Valentine ne souffre pas de la notoriété de ses parents, cela n'a pas toujours été le cas. "Ca a toujours été compliqué dans mon métier, de savoir comment je devais les exposer, elle et son frère Nicolas (27 ans). J'acceptais de le faire un minimum pour éviter les photos volées et il y en avait quand même... Mais avec leur père Pierre Sled, on a essayé de les préserver le plus possible. J'imagine que ça n'a pas été facile pour eux", a confié Sophie Davant. Sa fille a donc confirmé qu'à "l'adolescence, c'était compliqué". "C'est l'âge bête, donc, forcément, on se prend des réflexions, des méchancetés gratuites. J'ai toujours essayé de me mettre en retrait, pour éviter d'en être la cible", a-t-elle précisé.
A l'époque, Valentine n'en voulait pas à ses parents de cette situation, mais aux autres. Elle s'en voulait également beaucoup de ne pas réussir à gérer cette situation qui la pesait. "Mais je m'en suis bien sortie. Ca a été plus compliqué pour mon frère, qui a été davantage harcelé que moi", a-t-elle nuancé la situation. Une fois à la fac, la jeune femme a "pu [se] libérer" car elle s'est rendue compte que tout le monde se fichait de qui étaient ses parents. "Ca a été un grand soulagement. Aujourd'hui, certaines personnes que je côtoie sont au courant, mais je ne mets pas ça en avant. Rien ne me fait plus plaisir que quand on me dit :'Je ne sais pas qui est ta mère.' J'ai l'impression qu'on s'intéresse vraiment à moi", a-t-elle conclu le sujet.