Avant de bluffer le public dans Foxcatcher, un des films poids lourds de 2014, pressenti à Cannes en mai prochain ou bien même pour les Oscars 2015, Steve Carell se détendait en famille, loin du brouhaha hollywoodien.
Connu pour être un homme discret dont l'équilibre repose sur une carrière sainement gérée, une femme et deux enfants, Steve Carell n'est pas du genre à s'exposer plus qu'il n'en faut. En cette fin du mois de mars, profitant d'un calme plat sur son agenda, Steve Carell s'est éloigné de son quotidien californien pour s'échapper avec sa petite tribu du côté de Hawaï. Exotisme et détente étaient au rendez-vous pour le couple.
Le 30 mars, la famille étaient au complet pour une journée détente. Entre une balade romantique sur le sable au bord de l'eau pour les deux tourtereaux, ou jeux en tout genre pour leurs deux enfants que sont John (10 ans en juin prochain) et Elisabeth (12 ans), la petite famille semble très heureuse.
Le lendemain, Nancy Ellen Carell profitait d'un break sans son mari, mais en compagnie de ses deux enfants, pour une séance baignade où en bonne maman-poule, la femme de l'hilarant comédien surveillait attentivement sa progéniture. Quant à Steve Carell, il préférait se relaxer en solo dans son hôtel.
L'acteur fait bien de prendre du bon temps, car son actualité devrait être riche dans les prochaines mois. Récemment vu à l'affiche d'Anchorman 2 (Légendes vivantes en VF), Steve Carell va bientôt retrouver le costume de Gru pour le spin-off dédié au Minions et toujours prévu pour 2015. Côté live-action, Steve Carell devrait en surprendre plus d'un, avec Foxcatcher, un drame racontant l'histoire vraie de John du Pont, un riche philanthrope et grand amateur de sport qui fit bâtir, sur son domaine de Pennsylvanie, un centre d'entraînement consacré à la lutte olympique et baptisé Team Foxcatcher. Mais sa vie bascula en 1996 quand il tua le champion olympique David Schultz. John du Pont plaida la schizophrénie paranoïaque, mais fut condamner à purger trente ans de prison. Dans ce long métrage, où il partage l'affiche avec Channing Tatum, Steve Carell n'a pas hésité à se métamorphoser, cassant l'image du comédien déconneur pour se muer dans un personnage bien plus complexe, loin des sketchs et autres blagues tordantes.