Télématin fait sa rentrée sans Thomas Sotto après la polémique : une célèbre animatrice "ressort tous les vieux doss"

C'est une nouvelle aventure qui commence pour Flavie Flament et Julien Arnaud. Elle a été débauchée de RTL et lui de TF1 pour former le nouveau duo d'animateurs de Télématin sur France 2. Ils remplacent alors respectivement Marie Portolano et Thomas Sotto. Leur grande première a eu lieu lundi 16 septembre et, forcément, les journalistes étaient scrutés de toute part. Agathe Lecaron n'a notamment rien manqué de leur passage à l'antenne, avant de prendre le relais dès 9h30 avec son émission Les Maternelles.

Et en story Instagram, elle l'a fait savoir. En effet, la jolie blonde a tenu à féliciter Flavie Flament et Julien Arnaud, ne manquant pas de compliments à leur égard. "Les deux nouveaux visages de vos matins... Comme s'ils avaient toujours été là ! Bravo pour cette première", a-t-elle écrit en commentaire d'une photo d'eux à leur nouveau bureau. Agathe Lecaron n'a toutefois pas oublié son ami Thomas Sotto, avec qui elle avait l'habitude de plaisanter sur le plateau de France 2 lors du passage de relais. "Pensées pour cette petite tête perfide", a-t-elle alors déclaré à l'attention de son acolyte, toujours très taquine.

Thomas Sotto n'a bien sûr pas ignoré ce message et y a réagi sur Instagram. "Tu ressors vraiment tous les vieux doss...", a-t-il déploré avant de prévenir sa consoeur d'un retour de bâton : "Tremble Agathe Lecaron". Ces deux-là n'ont donc assurément pas fini de nous faire rire ! Mais en attendant, Agathe Lecaron s'amuse déjà à perturber le direct de ses nouveaux voisins sur France 2. Ce lundi matin elle a en effet débarqué dans Télématin pour bizuter Flavie et Julien.

Rappelons que Thomas Sotto a de son côté décidé de quitter la matinale et même le groupe France Télévisions au profit de RTL et au moment où une polémique a éclaté à son sujet. Le journaliste a fait l'objet d'une enquête et des témoignages l'ont dépeint comme un chef "irrespectueux" ou encore "dénigrant". Auprès de l'AFP, celui qui avait la double casquette de coprésentateur et de directeur éditorial a expliqué l'avoir vécu comme de la "violence inouïe", reconnaissant toutefois ne "pas être parfait". "Est-ce qu'une ou deux fois, j'ai pu blesser des gens ? Peut-être. Mais ce n'est pas du tout une généralité, ça ne reflète pas la réalité. J'ai trouvé ça extrêmement blessant et très injuste", a-t-il encore déclaré.