Un candidat de Koh-Lanta 2024 ivre en soirée, il aurait frappé une femme de 26 ans et lui aurait fracturé le nez

24 nouveaux aventuriers ont été révélés au grand public le 20 août 2024, dans Koh-Lanta, la tribu maudite, sur TF1. Et comme l'a dévoilé le média 24 heures ce lundi 9 septembre, l'un d'eux est au coeur d'une histoire d'agression.

Lors du lancement, les téléspectateurs ont découvert Gustin, un maître nageur venu tout droit de Suisse. Dans son portrait, il est aussi dit qu'il est dans l'armée depuis l'âge de "six ans un mois par an". "C'est notre service militaire en Suisse. Aujourd'hui, je suis tireur d'élite", y expliquait-il. Et d'ajouter qu'il est un grand amoureux de la nature. Mais aujourd'hui, ce n'est pas pour sa participation à l'émission qu'il fait parler de lui. Et les révélations à son sujet devraient en choquer plus d'un.

Il a été dévoilé que Gustin est sous enquête pour une violente agression qui a eu lieu il y a un peu plus d'un an à Yverdon (en Suisse). Les faits se seraient déroulés vers 2h30 du matin. La police Nord vaudois aurait été contactée après qu'un individu, alcoolisé, a agressé des agents de sécurité de la salle de L'Amalgame. Il s'agirait de l'aventurier de 26 ans.

Selon les agents de sécurité, il serait monté sur scène et aurait insulté la cheffe de sécurité, une femme de 26 ans. Une fois descendu, il aurait ensuite frappé un agent au niveau de la mâchoire, "puis asséné deux violents coups de poing au visage de la jeune femme, lui fracturant le nez", peut-on lire. Fort heureusement, Gustin aurait fini par être maîtrisé et menotté. Mais il aurait une fois de plus tenté de se débattre à l'arrivée des policiers qui devaient l'emmener au poste. Il les aurait également insultés et aurait craché sur leur véhicule.

Auprès de 24 heures, les policiers ont confirmé cette version de faits, sans toutefois préciser s'il s'agissait de Gustin. Ce dernier n'a quant à lui pas souhaité s'exprimer, "concernant cette histoire, qui n'est pas encore jugée". Le Ministère public vaudois a confirmé mener une instruction pénale contre le jeune homme et n'a pas manqué de souligner "qu'il a été auditionné et bénéficie de la présomption d'innocence".

Affaire à suivre donc.