Valérie Kaprisky - Remise des prix lors de la 7e édition du Festival du film francophone d'Angoulême, le 26 août 2014.© BestImage
La suite après la publicité
Valérie Kaprisky a été propulsée sur le devant de la scène avec deux film, La Femme publique et L'Année des méduses. Nous sommes en 1984 et comme beaucoup d'actrices françaises à l'époque, elle apparaît dévêtue dans ses films. Mais son corps nu lui collera à la peau. C'était il y a trente ans et cette situation a provoqué en elle de réels traumatismes. Des décennies plus tard, apaisée, elle revient avec la série policière R.I.S. Police scientifique sur TF1, au côté de Xavier Deluc, dans des épisodes diffusés début 2015. Pour Gala, elle revient sur son parcours compliqué et sur la sérénité qu'elle connaît aujourd'hui, même si la vie ne lui a pas fait que de cadeaux.
Dans les années 1990, Valérie Kaprisky suit une psychothérapie après avoir souffert de crises d'angoisse, symbolisant son mal-être et le malentendu dont elle a été victime au cinéma : "On me croyait femme fatale, j'étais une femme enfant." Sept ans après les débuts de son analyse, elle rencontre l'homme de sa vie, un compositeur de musique de documentaires pour qui elle a eu un coup de foudre, précise l'hebdomadaire. Elle est sur le nuage du bonheur depuis quinze ans avec celui qu'elle décrit comme un homme profondément gentil, mais elle a dû renoncer à une chose, avoir des enfants : "Je ne pouvais pas en faire, j'ai laissé tomber. Je suis belle-mère, et ça me va. Je m'implique", explique la comédienne de 52 ans.
Ses années de tourments sont derrière elle. Elle continue d'être comédienne, à l'étranger ou en France, mais se veut discrète. Valérie Kaprisky a trop souffert de voir son image lui échapper, et notamment son corps. Elle était devenue obsédée par sa santé et le contrôle de son poids et elle était régulièrement tétanisée. Croyant manquer de magnésium, elle comprendra par la suite qu'elle est victime de crise d'angoisse. "J'étais persuadée qu'il fallait être surexposée pour réussir", disait-elle dans le magazine Elle. Grandir, vieillir lui a fait réaliser ce qui était essentiel et important pour elle. Sans nostalgie aucune de ses années star, elle vit son existence d'artiste en paix désormais.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Gala du 17 septembre
Dans les années 1990, Valérie Kaprisky suit une psychothérapie après avoir souffert de crises d'angoisse, symbolisant son mal-être et le malentendu dont elle a été victime au cinéma : "On me croyait femme fatale, j'étais une femme enfant." Sept ans après les débuts de son analyse, elle rencontre l'homme de sa vie, un compositeur de musique de documentaires pour qui elle a eu un coup de foudre, précise l'hebdomadaire. Elle est sur le nuage du bonheur depuis quinze ans avec celui qu'elle décrit comme un homme profondément gentil, mais elle a dû renoncer à une chose, avoir des enfants : "Je ne pouvais pas en faire, j'ai laissé tomber. Je suis belle-mère, et ça me va. Je m'implique", explique la comédienne de 52 ans.
Ses années de tourments sont derrière elle. Elle continue d'être comédienne, à l'étranger ou en France, mais se veut discrète. Valérie Kaprisky a trop souffert de voir son image lui échapper, et notamment son corps. Elle était devenue obsédée par sa santé et le contrôle de son poids et elle était régulièrement tétanisée. Croyant manquer de magnésium, elle comprendra par la suite qu'elle est victime de crise d'angoisse. "J'étais persuadée qu'il fallait être surexposée pour réussir", disait-elle dans le magazine Elle. Grandir, vieillir lui a fait réaliser ce qui était essentiel et important pour elle. Sans nostalgie aucune de ses années star, elle vit son existence d'artiste en paix désormais.
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Gala du 17 septembre