

Valérie Trierweiler est - enfin - sortie de l'hôpital. D'après nos informations, la journaliste a quitté l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière ce samedi 18 janvier, vers 15h30, escortée comme le serait une Première dame, par un service de sécurité et des motards de l'Elysée, un convoi présidentiel en quelque sorte. Son véhicule a pris la route vers La Lanterne, comme il était convenu.
Hospitalisée depuis vendredi 10 janvier dans le service du docteur Olivier Lyon-Caen, professeur de neurologie dans le célèbre établissement, Valérie Trierweiler devrait passer quelques jours dans la résidence officielle de la présidence située à Versailles. Hier, nos confrères de Paris-Match, magazine pour lequel Valérie Trierweiler est journaliste depuis 1989, nous ont appris que la sortie était imminente et confirmaient que la Première dame devait rejoindre La Lanterne pour y passer quelques jours au calme et continuer sa convalescence loin du tumulte parisien.
Sous la surveillance du personnel médical, Valérie Trierweiler a suivi une cure de sommeil pour remonter la pente après le GayetGate qui monopolise l'attention politico-médiatique depuis le 10 janvier dernier. L'hebdomadaire people Closer a ainsi révélé l'idylle supposée du président de la république avec l'actrice Julie Gayet. Une information que le locataire de l'Elysée n'a d'ailleurs pas démentie et sur laquelle il devrait s'exprimer avant son départ aux USA le 11 février prochain, pour clarifier la situation aux yeux des Français.
Alors que François Hollande est aujourd'hui dans son fief de Corrèze, à Tulle, pour y présenter ses voeux (il est accompagné de quelque 90 journalistes), Valérie Trierweiler est arrivée à Versailles. Le président la rejoindra-t-il dès demain ?
Rappellons que le fils de Valérie Trierweiler, Léonard, comme il en a témoigné sur son compte Twitter hier soir avant d'effacer son tweet, n'a pas pu rendre visite à sa mère hier, vendredi 17 janvier, toute visite ayant été suspendue, provoquant ainsi l'inquiétude de ses proches.
Interrogé par nos confrères de Paris-Match afin de savoir si Valérie Trierweiler allait séjourner à la Lanterne "en qualité de Première dame", l'entourage de François Hollande aurait répondu : "Pourquoi ne pas parler d'elle en utilisant simplement son nom et son prénom?".
Et si l'épreuve la plus difficile était à venir ?