Le télé-crochet Star Academy a fêté ses 20 ans, le 30 octobre dernier. La chaîne TF1 a offert aux téléspectateurs nostalgiques une soirée exceptionnelle en présence d'anciens candidats emblématiques à l'instar d'Elodie Frégé, Jenifer, Mario Barravecchia, Jean-Pascal Lacoste, Jessica Marquez mais aussi de Nikos Aliagas et d'anciens professeurs du château : Kamel Ouali, Armande Altaï... Cette première émission de télé-réalité mêlant chant et danse aura laissé de bons souvenirs à tous. Invité dans L'Instant de Luxe, Sofiane Tadjine, qui a participé à la saison 4 du programme, a partagé quelques anecdotes de cette expérience impérissable. "La Star Ac 4 a été très jalousée, c'est une Star Ac' à part", a-t-il lancé du tac au tac.
"On a eu un gagnant particulier, c'est un amour particulier entre nous. Après l'émission, on est resté soudés parce qu'on avait des points de sutures qui s'appelaient Gregory Lemarchal", a confié le papa de Néo (4 ans, qu'il a eu avec Nikki de Giuseppe Ristorante) à Jordan de Luxe.
"Chez nous, il n'y avait pas d'animosité, c'était ambiance colonie de vacances car on savait déjà qui allait gagner. "C'était la Star Ac' à perdre", a affirmé l'artiste de 39 ans, faisant allusion à son ami, le regretté Gregory Lemarchal, emporté par la mucoviscidose en 2007, peu après sa victoire. "J'étais sûr de perdre mais avec le sourire. Quand il gagne à la fin, on pleure sinon plus que lui parce que c'est une belle leçon de vie", a conclu l'ex-compagnon de Nabilla.
Sofiane Tadjine s'est également exprimé sur la relation amicale qu'il entretenait avec Gregory Lemarchal. "Ça a accroché avec Greg parce que je lui ai dit : 'Tu peux être malade si tu veux, tu peux être ce que tu veux, moi je n'en ai rien à foutre. Je chante mieux que toi, je suis plus beau que toi'. Il n'aimait pas les gens qui le prenaient dans le sens du poil". Il poursuit : "Il m'a apporté quelque chose et moi aussi. Et ce qui est marrant, c'est qu'avec Greg tout nous séparait : moi j'étais le jeune de banlieue sauvageon et lui le petit jeune de Chambéry, moi j'étais les muscles et lui plutôt le cerveau. Mais il avait une force de vivre, il nous a appris plein de choses".