Le 7 avril dernier, Nawell Madani a dévoilé sa série Jusqu'ici tout va bien sur Netflix. Pour en assurer la promotion, la comédienne belge s'est prêtée au jeu des questions-réponses sur le compte Instagram de la plateforme de streaming. L'occasion pour les internautes de connaître quelques secrets de tournage.
La compagne de Djebril Didier Zong, qui joue lui aussi dans la série, a raconté qu'elle a réalisé les castings chez elle. Malheureusement, l'un d'entre eux lui a laissé un souvenir impérissable. "J'organise des castings chez moi. Je reçois les acteurs dans mon appartement. On a un jeune homme, qui est là et on lui donne des directives. Et à un moment donné, il se chauffe. Il commence à mal prendre les retours qu'on lui dit", s'est souvenue la comédienne de 39 ans. Et d'ajouter : "On lui dit : 'Écoute, joue le plus relax, le mec, il est plus funky que ça, ne force pas le trait'. Et là, il dit : 'Eh, vous parlez à qui ?'. On lui répond : 'Tranquille, on te donne juste des tips (sic)'. Il dit : 'Non, moi, il n'y a personne qui me donne des tips. Je joue comme je veux'" "Et là, il sort un couteau. (...) J'étais là : 'Aaaaaah, s'il te plaît, calme-toi", s'est-elle souvenue. La situation s'envenime peu à peu...
Nawell Madani a raconté à Netflix qu'elle a tout fait pour rassurer le comédien pendant son audition, pour éviter qu'il ne l'agresse. Échec cuisant. "Après six minutes, il dit : "C'est une blague. Je voulais juste vous montrer que je joue bien. Alors, vous me prenez ?'", a-t-elle conclu. Nawell Madani n'a pas souhaité révéler le nom de l'acteur qui lui a fait cette blague de mauvais goût. Rappelons que l'actrice a été agressée verbalement le 27 janvier dernier, alors qu'elle se trouvait au volant de sa voiture aux côtés de sa mère et sa fille. "Tout ça pour me demander de faire une marche arrière que je comptais bien faire si l'on ne l'avait pas demandé en commençant par : 'Connasse recule !'" avait déclaré la comédienne, choquée sur Instagram. En subissant une fausse agression au couteau lors d'un casting, la mère de la petite LouEzna a sûrement dû penser à celle qu'elle a vécue - pour de vrai - en début d'année.