Nicolas Waldorf est, à ce jour, l'un des nouveaux visages du petit écran. C'est en 2019 qu'il a vu sa notoriété exploser grâce à sa participation récurrente à Incroyables transformations sur M6. Le relooking des stars et d'anonymes, c'est son dada. Et, avec son équipe, il a l'habitude de séduire les foules ! Outre les tournages pour la sixième chaîne, le principal intéressé a aussi multiplié les projets en parallèle. L'acolyte de Léa Djadja gère d'ailleurs d'une main de maître son salon parisien qui a très vite rencontré un franc succès.
On a du mal à remplir les plannings
Mais, depuis plusieurs mois, son chiffre d'affaires l'inquiète au plus haut point comme il l'a révélé à nos confrères de BFM TV ce mardi 27 juin 2023. "Ça fait deux ans que j'ai ouvert ce salon et à la base, on avait deux ans d'attente, ce qui est assez dingue. Et là, on a du mal à remplir les plannings", a déploré l'influenceur de 37 ans. Si certains de ses confrères ont mis la clé sous la porte, ce dernier espère ne jamais en arriver là. "J'ai fait trois mois à moins de la moitié des objectifs. Donc, à un moment j'ai fini à moins 40 000 euros avant même de payer les salaires. Et là je me suis dit que ça commençait à sentir mauvais", a ajouté Nicolas Waldorf non sans amertume.
A son grand dam, le beau brun a également dû se séparer de cinq collaborateurs. "Soit un tiers de son équipe", comme le souligne Télé-Loisirs. A ce jour, Nicolas Waldorf est à deux doigts de faire faillite. Mais c'est mal le connaître. La polyvalence, ça lui connait bien. Il peut constamment surfer sur son image pour faire fructifier ses innombrables business. La création de sa propre agence était d'ailleurs l'un de ses plus gros projets de l'année.
Personne ne m'a aidé
"Je me suis rendu compte au cours des derniers mois, en parlant avec vous, que je devais continuer dans cette voie, et surtout que j'adore révéler votre potentiel et vivre ce grand moment avec vous !", s'était enthousiasmé l'ex-étudiant en droit le 30 mars dernier sur Instagram.
Malgré la gloire, Nicolas Waldorf a toujours été transparent quant à ses périodes sombres. "À une époque, j'étais dans un appartement qui donnait sur un puits de lumière. J'avais un petit lit avec un petit matelas, une armoire assez fine où j'empilais mes vêtements. Je me chauffais avec la plaque rouge de la cuisine. Je n'avais pas une thune. Personne ne m'a aidé", nous avait-il confié en 2022. Des hauts et des bas qui énormément forgé son ambition : "Je mangeais des palets bretons à 1 euro et je me disais : 'Mais ce n'est pas possible' (...). Aujourd'hui j'estime ma chance justement parce que j'ai vécu ces années-là. Je savoure chaque instant parce que je reviens de loin."