"J'ai pleuré comme une madeleine" : Laure (Mariés au premier regard) craque 10 jours après la naissance de son bébé

Depuis leur rencontre devant les caméras de M6, dans Mariés au premier regard en 2021, Laure et Matthieu ne se sont plus jamais quittés. Le couple vit ainsi le parfait amour ! Ensemble, ils sont devenus parents d'un premier enfant, la jeune Lya (2 ans et demi). Plus récemment, le 7 juillet précisément, Laure a donné naissance à leur deuxième bébé, une petite fille prénommée Rose. La petite famille doit désormais s'habituer à cette nouvelle vie à quatre. Et ce n'est pas toujours facile...

Jeudi 18 juillet 2024, la jeune maman se saisit de son compte Instagram afin de partager en story ses nouvelles aventures. Elle s'affiche ainsi apprêtée en chemise, pantalon, sandales et bijoux. "J'étais contente : j'ai réussi à me préparer tôt, à mettre des boucles d'oreilles, à faire un peu mes cheveux et tout pour aller au rendez-vous médical", indique Laure, qui devait accompagner son bébé chez l'ORL. Et de poursuivre : "Sauf que j'ai pleuré comme une madeleine parce qu'ils lui ont mis une caméra dans le nez qui va jusqu'à la gorge pour voir si tout est bien formé. La pauvre, elle hurlait, pleurait. C'était trop triste. Franchement je déteste, ça m'a arraché le coeur. Je crois que j'ai plus pleuré qu'elle." Un rendez-vous chez l'ORL qui ne s'est pas déroulé comme elle l'espérait...

Mais la charmante blonde tient à rassurer quant à l'état de santé de son bébé. "Bon le principal c'est que tout va bien !", indique-t-elle. Plus encore, celle qui a récemment mis en vente sa gigantesque villa en Normandie a reçu plusieurs interrogations quant à ce rendez-vous médical. "On a reçu une convocation suite à l'accouchement pour un rendez-vous chez l'ORL parce qu'elle a eu des problèmes de respiration à la naissance, précise la jeune femme. Ils voulaient vérifier que tout allait bien et que la trachée était pas mal formée. Tous les bébés ne subissent pas ça." Et finalement, tout semble aller pour le mieux pour la petite Rose, et tant mieux !