Grande et pulpeuse, Caroline Margeridon représente l'idéal féminin de beaucoup d'hommes et de femmes. Complètement transparente avec ses abonnés ainsi que les téléspectateurs, la célèbre acheteuse de l'émission Affaire conclue ne nie pourtant pas avoir fait plusieurs opérations de chirurgie esthétique. Comme elle l'explique dans son livre autobiographique, elle a succombé à sa toute première intervention lorsqu'elle s'est séparée du père de ses deux enfants.
Dévastée par la tromperie dé l'homme de sa vie et la rupture qui s'en est suivie, Caroline Margeridon a rapidement décidé de changer de vie. Pour ce faire, elle a commencé par changer quelques détails de son physique. "J'ai commencé le Botox à l'âge de 33 ans, et vous savez pourquoi ? On venait de se quitter, le père de mes enfants et moi, et, dans ces cas-là, on a envie de tout changer. (...) Mon ami de toujours, Jacques Ohana, le frère de ma Claudine, chirurgien esthétique, n'a pas voulu me refaire le nez, que j'avais cassé petite sur une baie vitrée (...). En revanche, il a accepté de m'enlever une ride ingrate au milieu du front. Elle n'est jamais revenue depuis, je ne sais pas ce qu'il a injecté comme produit", explique-t-elle dans les pages de son livre intitulé Libre !
Je veux juste bien vieillir
Après ces premières injections, Caroline Margeridon succombe aux vraies opérations et commence par faire refaire sa poitrine. "Depuis, il a refait mes seins à 54 ans. Je l'ai appelé un samedi sur un coup de tête, il m'a opérée le lundi. J'avais des seins énormes en sortant, heureusement, ils ont rapidement dégonflé", se souvient-elle.
Si elle n'hésite pas à modifier son apparence quand elle en ressent le besoin, la meilleure amie de Sophie Davant sait néanmoins où se trouvent ses limites. "Je suis pour la chirurgie esthétique à condition de ne pas se transformer. Les énormes seins ou la bouche de mérou, ce n'est vraiment pas pour moi", assure-t-elle. Aujourd'hui, la jolie blonde affirme que ces petites opérations l'aident simplement à traverser les années sans trop se détester. "La dictature de la beauté ne me touche pas, je ne veux pas avoir l'air d'une minette, et encore moins d'une bimbo, je veux juste bien vieillir, comme nous tous j'imagine", conclut-elle.