Dans la soirée du vendredi 8 novembre 2024, Nicolas Duvauchelle en avait gros sur le coeur. Pour preuve, le message que l'acteur de 44 ans a publié dans sa story Instagram...
"Que ce soit clair pour tous les pseudos justiciers en carton... Je n'ai jamais touché Sara Forestier. Plusieurs témoins étaient présents dont la réalisatrice et une enquête a été menée par la justice. Merci de respecter le verdict. Je compte poursuivre tous les petits malins qui continuent de me poster lâchement des messages", a d'abord écrit Nicolas Duvauchelle avant de rappeler que ces accusations n'ont pas seulement des répercussions sur lui mais également sur sa famille. L'acteur s'est marié en mai dernier à Chloé Roy et est le papa de 3 enfants : Bonnie qu'il a eue avec l'actrice Ludivine Sagnier en 2005, Romy qu'il a eue avec l'actrice Laura Isaaz en 2012 et enfin d'un garçon prénommé Andréa qu'il a eu en 2017 avec le mannequin Anouchka Alsif. "J'ai une famille et des enfants. Merci de les respecter et de respecter la vérité et pas vos fantasmes. Bon week-end à tous", conclut-il son message.
La publication de ce message intervient quelques jours après le passage de Sara Forestier sur le plateau de Quotidien, sur TMC. A l'affiche du film Trois amies, le nouveau long-métrage d'Emmanuel Mouret (Mademoiselle de Joncquières), l'actrice se trouvait aux côtés de Camille Cottin et India Hair. Césarisée à deux reprises (César du meilleur espoir féminin pour L'Esquive en 2005 et César de la meilleure actrice pour Le Nom des gens en 2011), Sara Forestier avait expliqué à Yann Barthès pourquoi elle s'est tenue à l'écart des plateaux de tournage durant trois ans. "Déjà parce qu'il n'y a pas que la vie professionnelle dans la vie", avait d'abord confié l'actrice avant d'ajouter : "J'avais besoin de prendre quelques années pour me reconstruire."
Sara Forestier était ensuite revenue sur un incident de tournage à l'origine de cette prise de distance, sans mentionner le nom du film ni le nom de l'acteur qui s'en serait pris à elle. "J'avais été frappée et giflée par un acteur. Et j'avais quitté le film. (...) J'étais allée au commissariat et j'ai porté plainte", a-t-elle expliqué à Yann Barthès, évoquant ensuite le traumatisme vécu : "Le trauma n'est pas pris en compte dans le cinéma. Les femmes abîmées, on s'amuse très souvent à dire qu'elles sont folles." "Il faut donc prendre le temps de se recentrer sur soi-même, retrouver le plaisir et j'ai vraiment attendu de trouver le projet avec des gens qui étaient bienveillants", a-t-elle ajouté par la suite.