Depuis quelques semaines déjà, Adixia et Paga ont révélé sur les réseaux sociaux qu'ils n'étaient "plus ensemble". Cette rupture s'est déroulée lors du tournage de la seconde saison de l'émission Les Marseillais vs le reste du monde, actuellement en diffusion chaque soir sur W9.
Au cours d'une interview qu'elle a accordée à nos confrères du magazine Public, la bimbo qui assure dépenser beaucoup d'argent en maquillage et en vêtements est revenue sur son histoire avec le Marseillais.
Aux yeux de la sublime Ch'ti, cette aventure était de trop pour son couple : "C'est la saison qui sonne la fin de notre couple. Cette fois-ci, Paga a vraiment été trop loin. Je l'avais prévenu en Argentine que s'il me trompait une nouvelle fois, ce serait fini. Il n'a pas pu s'en empêcher. Je suis partie sur le tournage en premier. Et comme j'ai raté toutes mes battles, j'ai vite été éliminée. Quand ça a été au tour de Paga de partir, il a ressenti des affinités avec Milla et, en off, il l'a embrassée. Kevin les a vus et a tout balancé."
"J'ai été dévastée. J'ai pleuré et pleuré. J'était malheureuse. D'abord parce que Paga m'avait encore une fois menti et ensuite parce que je ne m'attendais pas à ça de la part de Milla. J'ai pris l'avion à Marbella pour le quitter. Je n'ai même pas voulu entrer dans la maison, voir Milla et les autres, je l'ai quitté comme ça, d'un coup", a-t-elle poursuivi.
Adixia pense sincèrement que son ex-compagnon souhaite désormais s'amuser : "Il veut faire des coups en douce comme Kevin et Julien, enchaîner les filles."
"On s'était remis ensemble par habitude, on était installés dans une routine. Ma vie n'avais plus de sens, on faisait tout le temps la même chose, sans émotion, sans piment. Je crois qu'on était davantage des frère et soeur que des amants. Pourtant, j'ai fait des efforts. Je ne l'empêchais plus de voir ses potes, je faisais moins la gueule, j'étais redevenue cool. Mais on n'était plus vraiment amoureux" a-t-elle fini par dévoilé.
Au moins, les choses sont claires désormais.
Une interview à retrouver en intégralité dans le magazine Public, actuellement en kiosques.