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Après un passage remarqué dans Secret Story 4 ("Tu me connais pas, Senna, ça va ! Qu'est-ce que tu sais de ma vie, ça va ! J'ai 25 ans, j'ai du vécu, moi, ça va !"), puis dans les Anges de la télé-réalité saison 1, c'est une Amélie bien différente qui a rejoint Hawaï et ses plages paradisiaques.
Si elle a traversé le globe pour atterrir à Honolulu, et ce en compagnie de son bout de chou Hugo âgé de 2 mois et demi, ce n'est pas pour se la jouer bronzette et farniente, mais pour tourner la quatrième saison des Anges pour NRJ 12. Son objectif : "Je veux que le public me voie comme je suis aujourd'hui. Je suis apaisée depuis que je suis mère, et je veux que les gens s'en rendent compte."
Interviewée par Closer, elle raconte tout de ses premiers jours à Hawaï et se souvient des difficultés qu'elle a rencontrées pour imposer la venue de son petit Hugo sur le tournage...
"Beaucoup de gens ont essayé de me dissuader (de le faire venir). Ils voulaient tous que je parte seule à Hawaï et qu'Hugo reste en Belgique avec mes parents. La chaîne m'a contactée il y a quelques mois pour participer aux Anges 4. J'ai dit : 'OK, mais Hugo part avec moi, sans lui, je ne fais rien.' La prod a essayé de me convaincre que c'était plus simple que je parte seule, notamment pour des questions d'assurances et d'organisation. Mais vous vous rendez compte, six semaines sans mon fils ? C'était clairement impossible. Ils ont fini par céder. Personne ne peut me séparer d'Hugo !", se souvient-elle.
Elle tient d'ailleurs à remettre les points sur les "i" face à ceux qui pensent qu'elle est une mauvaise mère parce qu'elle médiatise son fils : "Je commence à en avoir marre de ces critiques infondées. Tout le monde me crache dessus sans arrêt. Ils ne savent pas les sacrifices que je fais pour Hugo. Mon fils est couvert d'amour et ne manque de rien, c'est ça être une bonne mère !"
Un avis défendable, même si la comparaison à venir n'était peut-être pas nécessaire : "En même temps, Brad Pitt et Angelina Jolie exposent leurs enfants depuis leur naissance, et je ne crois pas qu'ils soient taxés de mauvais parents."
Si son fils peine encore à trouver son rythme - "Avec le décalage horaire, il confond encore un peu le jour et la nuit !" -, pour Amélie, tout roule : "(Je souhaite) mener à bien mon projet professionnel, la création d'une ligne de vêtements pour enfants."
Retrouvez l'interview d'Amélie Neten en intégralité dans le magazine Closer en kiosques du 25 février au 2 mars.
Joachim Ohnona
Si elle a traversé le globe pour atterrir à Honolulu, et ce en compagnie de son bout de chou Hugo âgé de 2 mois et demi, ce n'est pas pour se la jouer bronzette et farniente, mais pour tourner la quatrième saison des Anges pour NRJ 12. Son objectif : "Je veux que le public me voie comme je suis aujourd'hui. Je suis apaisée depuis que je suis mère, et je veux que les gens s'en rendent compte."
Interviewée par Closer, elle raconte tout de ses premiers jours à Hawaï et se souvient des difficultés qu'elle a rencontrées pour imposer la venue de son petit Hugo sur le tournage...
"Beaucoup de gens ont essayé de me dissuader (de le faire venir). Ils voulaient tous que je parte seule à Hawaï et qu'Hugo reste en Belgique avec mes parents. La chaîne m'a contactée il y a quelques mois pour participer aux Anges 4. J'ai dit : 'OK, mais Hugo part avec moi, sans lui, je ne fais rien.' La prod a essayé de me convaincre que c'était plus simple que je parte seule, notamment pour des questions d'assurances et d'organisation. Mais vous vous rendez compte, six semaines sans mon fils ? C'était clairement impossible. Ils ont fini par céder. Personne ne peut me séparer d'Hugo !", se souvient-elle.
Elle tient d'ailleurs à remettre les points sur les "i" face à ceux qui pensent qu'elle est une mauvaise mère parce qu'elle médiatise son fils : "Je commence à en avoir marre de ces critiques infondées. Tout le monde me crache dessus sans arrêt. Ils ne savent pas les sacrifices que je fais pour Hugo. Mon fils est couvert d'amour et ne manque de rien, c'est ça être une bonne mère !"
Un avis défendable, même si la comparaison à venir n'était peut-être pas nécessaire : "En même temps, Brad Pitt et Angelina Jolie exposent leurs enfants depuis leur naissance, et je ne crois pas qu'ils soient taxés de mauvais parents."
Si son fils peine encore à trouver son rythme - "Avec le décalage horaire, il confond encore un peu le jour et la nuit !" -, pour Amélie, tout roule : "(Je souhaite) mener à bien mon projet professionnel, la création d'une ligne de vêtements pour enfants."
Retrouvez l'interview d'Amélie Neten en intégralité dans le magazine Closer en kiosques du 25 février au 2 mars.
Joachim Ohnona