Short de bain mouillé, palmes à la main et torse bien taillé, Bixente Lizarazu n'a absolument rien perdu de sa forme à 54 ans ! Une photo si flatteuse pour l'ancien footballeur professionnel que certains doutent de la véracité de la couverture de son nouveau livre Vivre de sports : Pour rester en forme publié le 3 avril prochain aux éditions Flammarion.
Bien curieux de savoir si cette photo a subi de quelconques retouches, le Parisien n'est pas passé par quatre chemins et a posé directement la question au principal intéressé ! "J'aimerais bien vous faire plaisir mais non !, a-t-il répondu au quotidien en rigolant, amorce d'une interview publiée dans l'édition de ce lundi 1er avril 2024. Il existe des vêtements en lycra pour imiter les abdos mais là, ce sont bien les miens. Mais le but de ma pratique sportive n'est pas de me sculpter un joli corps. J'ai juste envie de m'éclater."
Pour ceux qui suivent le consultant de TF1 sur Instagram, impossible de ne pas constater qu'il est un grand féru de sports : cyclisme, plongée, ski, jiu-jitsu... "C'est une continuité de mon enfance, commente le papa de Tximista (qui vit à New York) et Uhaina (qu'il a eue avec Claire Keim). Mes parents m'avaient encouragé à les multiplier. En plus du foot, je pratiquais la pelote basque, le tennis, le surf. (...) Quand j'ai arrête le foot, j'ai décidé de retrouver ma vie d'enfant. Et grâce à cela, la fameuse déprime, qu'on appelle "la petite mort", après l'arrêt de ma carrière, n'a duré que deux jours."
A ce besoin de faire du sport et même des sports se combine l'envie d'adrénaline. Des activités qui ont parfois valu au champion du monde 98 des accidents et de belles frayeurs. Comme ce jour où il a chuté à ski. "En 2001, j'ai fini dans un hélicoptère à Chamonix à cause d'une chute stupide où j'avais perdu connaissance, se souvient Bixente Lizarazu auprès du Parisien. En 2004, alors que j'étais encore joueur, je m'étais inscrit sous un faux nom dans un slalom. Mais c'est juste une anecdote sans intérêt. C'est pour dire que ce sont des critères à la con de vouloir interdire la pratique d'autres sports. C'est plus dangereux de prendre sa voiture tous les jours."
Une chose est sure, Bixente Lizarazu est certain d'avoir trouvé le bon équilibre dans sa vie : "Avoir un pied dans le football derrière le micro et vivre mes aventure dans mes sports, c'est le bon équilibre. Je peux donc le dire : aujourd'hui, je me sens un homme complet."