

Alors que l'affaire Bettencourt prend des proportions nationales voire internationales, Carla Bruni-Sarkozy vient de couper court aux rumeurs qui viennent de Grande-Bretagne.
Le royaume, qui a apparemment mal vécu que le président Nicolas Sarkozy ait dit lors de son intervention télévisée lundi soir sur France 2 que "le plus récent des scandales politiques a eu lieu en Angleterre, pas en France", a sorti dans la presse une information que la première Dame a tout de suite tenu à démentir.
Le Daily Mail a en effet publié un article dans lequel il affirme que celle qui a illuminé aujourd'hui cet humide défilé du 14 juillet, est elle aussi mêlée à l'affaire Bettencourt puisque sa fondation profite d'un soutien de L'Oréal via le Programme Révélations Lancôme, dont nous vous parlions en novembre 2009.
L'entourage de Carla Bruni-Sarkozy rapporte qu'elle s'est vivement défendue de tout don et a précisé de nouveau qu'il s'agissait d'un "programme financé par Lancôme qui, tout à fait officiellement dans le cadre de ses activités de mécénat, a souhaité financer un programme de tutorat pour les accès aux métiers d'art et aux écoles d'art", comme le souligne Le Parisien de ce jour.
Ces sommes versées depuis l'automne dernier, par Lancôme à la fondation Carla Bruni-Sarkozy, s'élèvent à "500 000 euros par an sur trois ans", soit un total de 1,5 million si notre boulier est juste.
C'est fou comme cette affaire Bettencourt prend une ampleur inconsidérée. Mais il semblerait qu'il ne faille pas mettre tout le monde dans le même panier... de crabes !