Carla Bruni-Sarkozy s'offre une bouffée d'air relaxante dans le Calvados. Après s'être affichée radieuse la semaine dernière à Nice au bras de son époux, Nicolas Sarkozy, la chanteuse de 48 ans a en effet mis le cap sur la Normandie afin d'assister au dîner d'ouverture célébré au profit de l'association Enfants du Soleil, à l'occasion de la 30e édition du Festival du film de Cabourg qui se déroule du 8 au 12 juin.
Réputé pour son engagement caritatif, l'ancien mannequin oeuvre depuis plusieurs années auprès d'organismes qui viennent en aide aux enfants défavorisés. Créée en 1985, la fondation Enfants du Soleil a pour vocation d'apporter de l'"aide dans le monde entier à tout enfant en situation très difficile", notamment dans les pays d'Afrique de l'Est et au Sénégal.
Tout de noir vêtue, Carla Bruni-Sarkozy était donc naturellement présente pour soutenir l'association et promouvoir son action. Chaussée d'une paire de bottes marron, elle avait opté pour un jeans et une veste assortie. Les cheveux détachés sur les épaules et le sourire aux lèvres, l'interprète de Little French Songs portait pour seul accessoire son téléphone portable, sur lequel étaient accrochés plusieurs portraits de famille. Lorsqu'elle voyage, la maman d'Aurélien (15 ans) et Giulia (4 ans et demi) tient toujours à garder ses proches auprès d'elle. Sur la coque de son téléphone figurent notamment des photos de ses amies mannequins, de sa soeur Valeria Bruni-Tedeschi ainsi qu'un cliché où elle prend la pose avec Nicolas Sarkozy et leur adorable fillette. Une vraie romantique !
Multipliant les postures assurées, l'ancienne première dame de France a entre autres croisé sur place le maire de la ville de Cabourg, Tristan Duval, ainsi que Suzel Pietri, la déléguée générale du Festival de Cabourg. Cette nouvelle sortie survient quelques jours après la dernière interview qu'a accordée sa mère, Marisa Bruni-Tedeschi. La pianiste italienne a notamment révélé que sa fille cadette était très "cachottière" durant son adolescence. "À 14 ans, elle avait mis un polochon dans son lit pour faire croire qu'elle était rentrée, alors qu'elle avait passé la nuit avec des amis ! À Malte, quand elle est revenue à 6h du matin au lieu de 23h, je l'ai su six mois après !", dévoilait l'auteure de Mes chères filles, je vais vous raconter... (paru le 4 mai dernier aux éditions Laffont).
S.L.