Éducation, emploi, évidemment la santé... La pandémie de Covid-19 bouleverse le quotidien de milliards de personnes à travers le monde. Caroline Receveur, son mari Hugo Philip et leur fils Marlon en font l'expérience. Le papa a raconté la rentrée du petit garçon de 2 ans, entre les larmes de l'aller et le sourire au retour.
Hugo Philip compte près de 700 000 abonnés sur Instagram. Il y a publié un selfie de son fils Marlon et lui dans sa story du mercredi 21 octobre 2020, une publication à laquelle sa compagne Caroline Receveur a réagi. "Comment s'est passé le premier jour du ptit pimousse ?", demande l'influenceuse et ex-candidate de Secret Story à son chéri, parti récupérer leur petit garçon après sa rentrée à la maternelle. "Pas facile", a répondu Hugo Philip.
"C'est pas facile (plus pour lui que pour nous d'ailleurs). Le laisser chaque matin en larmes, accroché à nos jambes dire 'Papa, maman on rentre à la maison', ça me déchire le coeur, ajoute-t-il. Mais on est tous passés par là, ça fait partie du processus de la vie. En revanche, lorsqu'on le récupère à 13h il est heureux et est OK pour y retourner le lendemain, c'est plutôt bon signe".
Une fois rentré, Marlon a visiblement hâte de retrouver ses copains !
"Mais la situation sanitaire rend quand même l'entrée à l'école bien plus difficile. Les maîtresses qui portent des masques et des visières, les locaux aseptisés (plus de toboggan, d'aire de jeux etc), l'interdiction de rentrer à l'école avec eux et de les accompagner. Tout ça est nécessaire mais ne facilite vraiment pas les choses. Vivement que cette période de m***e se termine", conclut Hugo Philip dans sa story du jour ! Contre la pandémie, le gouvernement des Émirats Arabes Unis a pris toutes les dispositions. A ce jour, la Covid-19 y a fait plus de 121 000 cas et moins de 500 morts.
Grâce aux réseaux sociaux, Caroline Receveur et son compagnon partagent leur nouveau quotidien à Dubaï, où ils se sont installés l'été dernier. "Je veux permettre à Marlon de côtoyer des petits camarades de toutes les couleurs (dans cette ville où plus de 200 nationalités sont représentées) et de ne pas connaître la définition du mot 'racisme' me tient particulièrement à coeur dans un monde où la tolérance et la bienveillance ne sont pas toujours au rendez-vous", expliquait la jeune maman sur son blog lors de son déménagement.