Chantal Jouanno, femme politique et karatéka© Angeli
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Dans l'affaire des fausses rumeurs, Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie, est aussi une des victimes de ces ragots. Alors que le couple présidentiel avait choisi, enfin de calmer les choses avec Carla Bruni aux commandes - une belle opération de communication, entachée d'un nouveau couac -, Paris Match en kiosque demain a recueilli les paroles de la karatéka de la politique en colère. Extraits.
Pour cette femme politique et sportive, il faut aller de l'avant, malgré l'abandon de la taxe carbone et l'échec des élections régionales. Cependant, le choc des rumeurs "ignobles" sur sa vie privée ont fait souffrir ses proches, qui pouvaient voir sur Internet de nouveaux détails croustillants : "Heureusement, Hervé [son mari] ne doute pas de moi. Il a confiance. Mais il y avait le regard des autres. Leur expression faussement apitoyée."
Ce genre de situation a de quoi déstabiliser, mais il en faut plus pour abattre cette forte personnalité qui s'est endurcie depuis qu'elle est entrée au gouvernement comme secrétaire d'Etat : "Je suis moins naïve, j'ai appris à me méfier de tout et de tous. Spécialement des entourages, experts en coups tordus. [...] Ils n'ont pas d'honneur.[...] Je les mets au défi de produire le début de la moitié d'une preuve."
La colère de Chantal Jouanno est toujours vivante, d'autant plus qu'elle n'est pas seulement épouse, mais aussi mère. Le jeune âge de ses enfants (Sybille, 6 ans, Côme et Sixtine, les jumeaux de 3 ans et demi), les a protégés et ils ne se sont pas rendus compte de la situation.
La politique est un milieu féroce, encore plus lorsqu'il est sous les projecteurs des médias. Chantal Jouanno puise dans sa force intérieure pour avancer, tirer les leçons, sans excuser d'aucune façon l'ignominie dont elle a fait l'objet.
Mais, alors que Nicolas Sarkozy calmait à nouveau le jeu à Washington en parlant de "clapotis" concernant les dîtes rumeurs, était-il bien nécessaire pour Chantal Jouanno d'y revenir et relancer la machine à rumeurs ? Décidément, personne n'a envie que cette histoire idiote ne s'arrête !
Retrouvez l'intégralité de l'article dans Paris Match, en kiosque dès le 15 avril.
Pour cette femme politique et sportive, il faut aller de l'avant, malgré l'abandon de la taxe carbone et l'échec des élections régionales. Cependant, le choc des rumeurs "ignobles" sur sa vie privée ont fait souffrir ses proches, qui pouvaient voir sur Internet de nouveaux détails croustillants : "Heureusement, Hervé [son mari] ne doute pas de moi. Il a confiance. Mais il y avait le regard des autres. Leur expression faussement apitoyée."
Ce genre de situation a de quoi déstabiliser, mais il en faut plus pour abattre cette forte personnalité qui s'est endurcie depuis qu'elle est entrée au gouvernement comme secrétaire d'Etat : "Je suis moins naïve, j'ai appris à me méfier de tout et de tous. Spécialement des entourages, experts en coups tordus. [...] Ils n'ont pas d'honneur.[...] Je les mets au défi de produire le début de la moitié d'une preuve."
La colère de Chantal Jouanno est toujours vivante, d'autant plus qu'elle n'est pas seulement épouse, mais aussi mère. Le jeune âge de ses enfants (Sybille, 6 ans, Côme et Sixtine, les jumeaux de 3 ans et demi), les a protégés et ils ne se sont pas rendus compte de la situation.
La politique est un milieu féroce, encore plus lorsqu'il est sous les projecteurs des médias. Chantal Jouanno puise dans sa force intérieure pour avancer, tirer les leçons, sans excuser d'aucune façon l'ignominie dont elle a fait l'objet.
Mais, alors que Nicolas Sarkozy calmait à nouveau le jeu à Washington en parlant de "clapotis" concernant les dîtes rumeurs, était-il bien nécessaire pour Chantal Jouanno d'y revenir et relancer la machine à rumeurs ? Décidément, personne n'a envie que cette histoire idiote ne s'arrête !
Retrouvez l'intégralité de l'article dans Paris Match, en kiosque dès le 15 avril.