Charlotte Casiraghi : L'égérie glamour devient business-woman

Prêter son joli minois à une marque, elle avait toujours refusé. Puis il y a eu une rencontre, avec Frida Giannini (directrice de la création Gucci), une association avec sa passion, l'équitation, et un pas, franchi tout récemment. Charlotte Casiraghi, qui vient d'être enrôlée par la maison Gucci pour sa campagne Forever Now, revient sur son rôle glamour d'égérie, shootée par Peter Lindbergh, dans le colonnes du magazine ELLE, en kiosques. Extraits

Celle qui a toujours balayé les nombreuses propositions venant des maisons de luxe, se rassure, en précisant qu'elle n'est pas, et ne souhaitait pas, être associée à un objet en particulier dans cette campagne. Bien plus que de vanter le dernier sac à la mode, Charlotte embrasse l'éthique et les valeurs de la maison transalpine qui la chérit tant.

"Ce projet n'est pas une simple campagne, c'est un lien que je tisse avec Frida Giannini", dit-elle. Et de poursuivre : "Je ne représente aucun produit, aucune collection. Les images ne seront pas matraquées". Sauf que depuis l'annonce de la maison, faite il y a quelques jours seulement, Charlotte est partout. Et les images aussi...

La beauté du Rocher confie avoir pris plaisir à poser pour Peter Lindberg, dans sa propre écurie, avec son cheval, Carryduff. "J'ai une telle complicité avec lui !", dit-elle. "J'étais à peine maquillée, à peine coiffée. Et, au beau milieu de la séance, j'ai noué mon foulard autour de la tête : l'image a été gardée pour la campagne". Charlotte, une faiseuse de tendance ? Certainement.

Au détour de la brève interview, la pétillante cavalière nous apprend qu'elle vient de monter une boite de production avec deux amies, baptisée Swooon, et nul doute que les propositions vont arriver en masse sur le bureau de la jeune femme épanouie qu'elle est aujourd'hui.

À suivre, donc.