Cindy Sander n'a plus grand-chose à voir avec la candidate un poil ringarde que la France a découverte bien malgré elle en 2008 dans Nouvelle Star sur M6. Devenue une célébrité en Allemagne grâce au couturier Thierry Mugler, qui a fait d'elle la tête d'affiche de son spectacle The Wyld joué actuellement au Palaast de Berlin, Cindy est désormais une chanteuse reconnue !
Forte de ce nouveau statut inattendu, la chanteuse de Papillon de lumière s'est confiée à nos confrères de L'Obs. A cette occasion, Cindy Sander est revenue sur la génèse de sa métamorphose. "Il y a 3 ans, j'ai reçu différents mails des assistants de Thierry Mugler. Comme, à l'époque, on m'en envoyait surtout pour me faire des blagues, je n'y ai pas cru. Et puis j'ai reçu un appel de l'un de ses collaborateurs qui m'a expliqué que Manfred Thierry Mugler voulait me voir. J'ai accepté, persuadée que c'était un canular." Et d'ajouter sur les conditions que Thierry Mugler a évoquées avant toute collaboration lors de leur première rencontre : "Il m'a demandé de me retirer des médias pendant trois ans. Ce que j'ai fait : du jour au lendemain, je me suis retirée, personne ne savait pourquoi. On disait dans la presse que je n'arrivais plus à rien, que ma carrière était foutue. C'était marrant, je préparais juste un nouveau projet ! Il a été comme un papa, pour moi, me coachant vocalement, physiquement."
Une chose est sûre, Cindy Sander a tenu à faire savoir qu'elle ne voyait pas ce renouveau comme une revanche sur ses détracteurs dans l'Hexagone. "Je suis restée simple. Je ne cherche pas la revanche, je serais ravie de me produire en France si ça devait arriver. J'ai tout gagné dans l'affaire : ce que je recherchais c'était chanter, être sur scène et c'est ça ma plus belle victoire", a-t-elle expliqué avant de se permettre une petite fantaisie, celle de lancer une invitation à son idole, Céline Dion : "J'aimerais bien l'inviter au spectacle, j'aimerais beaucoup. Mais ça doit faire un peu loin pour elle, étant donné qu'elle est à Las Vegas..."
Une interview à découvrir en intégralité sur le site de L'Obs.