Événement mardi 12 décembre, au soir, à la commission européenne de Bruxelles. Omar Harfouch, qui a fait parler de lui ces dernières semaines suite à son rachat du magazine Entrevue, a montré qu'il avait plusieurs cordes à son arc. Alors qu'il a totalement transformé ce mensuel en profondeur – changement radical, tant sur la forme que sur le fond, ainsi qu'une vraie montée en gamme –, c'est au Sénat, avec de nombreuses personnalités, qu'il a organisé la soirée de lancement. Mais ce 12 décembre, c'est à la commission européenne de Bruxelles, que l'homme d'affaires et pianiste-compositeur a donné un concert, sous le parrainage du commissaire européen Oliviér Várhelyi, pour jouer sa nouvelle composition Peace is hope.
Président honoraire de l'Organisation pour le Dialogue et la Diversité, l'homme d'affaires, également pianiste-compositeur, a joué son tout nouveau morceau de musique qu'il a spécialement composé pour un appel à la paix dans le monde. Un morceau d'ailleurs intitulé "Sauvez une vie, vous sauvez l'humanité", en référence à une célèbre phrase mentionnée dans la Torah et dans le Saint Coran.
Le concert s'est déroulé dans la salle principale de la Commission européenne, lors d'une soirée musicale organisée à la veille du sommet européen, qui réunit tous les dirigeants européens, dont le président français Emmanuel Macron, afin de prendre des décisions cruciales concernant l'avenir de l'Ukraine et la situation au Proche-Orient. Au cours de sa prestation, Omar Harfouch a lu la sourate Al-Ma'idah 32 : "Le Tout-Puissant dit : et celui qui sauve une vie, c'est comme s'il avait sauvé toute l'humanité", devant des responsables et décideurs européens, le tout sous le parrainage du commissaire européen Oliviér Várhelyi.
Durant la lecture de cette sourate, le public avait le visage surpris en entendant le Saint Coran, qui pour la première fois était lu à l'intérieur du bâtiment de la Commission européenne.
Très impliqué dans son combat pour la paix, Omar Harfouch a demandé aux responsables politiques de lui promettre une chose : qu'ils sauveraient chacun une vie après avoir entendu sa musique, composée pour l'occasion.
La nouvelle oeuvre musicale du compositeur comportait deux parties symbolisant les divisions du monde actuel : la première, qui raconte une vie pleine et heureuse, remplie d'amour et de tolérance. La seconde, qui fait état d'une vie de tristesse, de destruction, de peur, de perte de sécurité et d'espoir. Et qui pose à tous une question cruciale : dans quel monde veut-on vivre, le premier ou le second ?
Dès la fin de la première partie, jouée au piano avec l'orchestre, l'audience a chaleureusement applaudit les musiciens. À la fin de la seconde partie, le public était debout, certaines personnes dans l'assistance ne pouvant contenir quelques larmes... Le succès a été tel qu'Omar Harfouch et son orchestre ont été immédiatement sollicités par les ambassadeurs présents dans la salle pour jouer cette composition dans toutes les villes européennes.
À noter que durant ce concert, Omar Harfouch était accompagné de sa violoniste attitrée, l'Ukrainienne Anna Bondarenko, et d'un orchestre de quinze musiciens issus de différentes nationalités : française, belge, syrienne, ukrainienne et macédonienne. C'était aussi la première fois qu'un concert de musique classique avait lieu dans un bâtiment officiel de la Commission européenne à Bruxelles... Quelques jours plus tôt, le 6 décembre, avait lieu au Sénat, le lancement du nouvel Entrevue avec de nombreuses personnalités et VIP. Omar Harfouch, au bras de sa femme Yulia, a eu le plaisir d'être entouré de Laurent Baffie, Bertrand Deckers, Thibaud Vézirian, Gilles Verdez et sa femme Fatou, Nathalie Goulet. Robert Ménard, Nelson Monfort, l'imam Hassen Chalghoumi, Massimo Gargia ou encore Cyril Viguier étaient aussi présents.