Dans une interview accordée au Monde, samedi 11 septembre 2021, David Pujadas s'est confié à coeur ouvert sur sa vie privée. Après avoir brièvement évoqué ses vacances dans le Rouergue chez sa mère, le journaliste de 56 ans s'est épanché sur sa vie sentimentale. Des confidences rares pour le présentateur de 24H Pujadas sur LCI qui habituellement est peu bavard sur le sujet.
Cinq ans après sa séparation d'avec la mère des "deux petits", l'ancien époux d'Ingrid Pujadas a indiqué à nos confrères avoir déjà trouvé l'amour. "J'aime et j'ai beaucoup aimé", a-t-il exprimé à demi-mots. Une vie de couple que l'ancien animateur du Journal de 20H de France 2 compte chérir autant que possible. "Et ça, c'est comme les enfants, il ne faut pas le sacrifier", a-t-il poursuivi. Désormais épanoui en amour, le père d'Esther (26 ans), d'Adèle (22 ans), d'Adam (13 ans) et de Rose (11 ans) a décidé de ne pas partager l'identité de sa bien-aimée.
Concernant sa vie de famille, David Pujadas a beau être un homme très occupé par son travail, il reste néanmoins très proche de ses enfants. Auprès de TV Magazine, ce dernier avait partagé quelques confidences au sujet de leur éducation : "Avec mes enfants, je suis un père exigeant. Je m'attache à les ouvrir au monde." Et de poursuivre : "Une chose est simple : n'essayez jamais d'être copain avec vos enfants. Ils n'attendent pas cela de vous. Ils attendent l'autorité d'un adulte sans confusion des rôles. C'est la différence qui fait l'échange. Je m'efforce de transmettre quelques valeurs comme prendre tout ce qui est bon dans la vie, vivre au présent, le respect, s'aimer soi-même pour aimer les autres".
Bien qu'autoritaire, lors du mouvement #BalanceTonPorc, David Pujadas avait exprimé quelques craintes pour la sécurité de ses filles. Malgré ses séparations, ce dernier continue de leur apporter des conseils. "Elles ont les armes pour se défendre, mais cela peut être compliqué en cas d'emprise. J'ai toujours répété cela à mes enfants : si on vous touche, si on se comporte mal avec vous, vous hurlez car personne n'en a le droit", avait-il indiqué, inquiet. Et de conclure :"Et n'ayez jamais honte d'en parler, sans considérer que les torts sont partagés. C'est bien ça le plus dur : subir et penser qu'on a quelque chose à se reprocher."