Après avoir présenté le journal télévisé de 20 heures sur France 2, David Pujadas a rejoint LCI. Sur la chaîne d'information du groupe TF1, le journaliste est aux commandes de certains débats politiques mais pas que. Il propose du lundi au vendredi, entre 18h et 20h, 24h Pujadas, l'info en questions, un programme d'actualité. C'est ainsi que le brun de 59 ans a un emploi du temps bien chargé. Mais pas question de se concentrer uniquement sur son travail. Lui qui est père de quatre enfants met un point d'honneur à passer des moments de qualité avec sa tribu.
David Pujadas est divorcé de sa première femme, une journaliste de presse écrite avec qui il a eu deux filles : Esther et Adèle. Par la suite, il a été en couple avec Ingrid, une hôtesse de l'air rencontrée lors d'un vol. Ensemble, ils ont deux enfants : un garçon prénommé Adam et né en 2008 ainsi que Rose, née en 2015. Finalement, en mai 2017 les amoureux ont pris la décision de rompre. Bien que séparé des mères de ses enfants, le journaliste garde de bonnes relations avec ses filles et son fils, qu'il pousse toutefois à toujours donner le meilleur d'eux-mêmes. "Avec mes enfants, je suis un père exigeant. Je m'attache à les ouvrir au monde", avait-il indiqué auprès de TV Magazine.
Son rôle de père de famille, il le prend très à coeur : "Une chose est simple : n'essayez jamais d'être copain avec vos enfants. Ils n'attendent pas cela de vous. Ils attendent l'autorité d'un adulte, sans confusion des rôles. C'est la différence qui fait l'échange. Je m'efforce de transmettre quelques valeurs, comme prendre tout ce qui est bon dans la vie, vivre au présent, le respect, s'aimer soi-même pour aimer les autres." En papa protecteur, David Pujadas tient à prodiguer à sa progéniture les meilleurs conseils possible. "J'ai toujours répété cela à mes enfants : si on vous touche, si on se comporte mal avec vous, vous hurlez, car personne n'en a le droit. Et n'ayez jamais honte d'en parler, sans considérer que les torts sont partagés. C'est bien ça le plus dur : subir et penser qu'on a quelque chose à se reprocher", avait-il expliqué dans les colonnes du Parisien.