Estelle Lefébure n’avait jamais pratiqué cela avant David Hallyday, elle ne peut désormais plus s’en passer

Si après plusieurs dizaines d’années de mariage, certains couples ont la chance d’écrire encore leur histoire ensemble, ce n’est pas le cas de tout le monde. Certains se déchirent mais d’autres ont l’intelligence de faire les choses bien. David Hallyday et Estelle Lefébure font partie de cette dernière catégorie. Parents de deux filles prénommées Emma et Ilona Smet, le mannequin et le chanteur ont mis un terme à leur mariage en 2001 après 12 ans de bonheur.

Mais pas question de se faire la guerre en annonçant leur divorce comme ce fut le cas pour Angelina Jolie et Brad Pitt. Entre Estelle Lefébure et David Hallyday, les relations sont au beau fixe et l’amour s’est transformé en une belle amitié qui ravit pleinement leurs enfants. Il faut dire que de cette histoire, Estelle Lefébure garde certes deux des trois plus beaux cadeaux que lui a faits la vie mais également des souvenirs plein la tête et une découverte qui a fait basculer son quotidien.

À l’occasion de la publication chez Flammarion de son livre Welcome. Accueillir le temps qui passe, dans lequel elle révèle comment elle prend soin de son corps et son esprit, Estelle Lefébure s’est confiée au Parisien Week-End et a révélé être une grande amatrice de plongée. Une pratique qu’elle a découverte et testée pour la première fois lors de son voyage de noces avec le fils de Sylvie Vartan et Johnny Hallyday : “J’ai découvert l’exploration sous-marine à 23 ans, à l’occasion de mon voyage de noces avec David Hallyday. Depuis, cette passion ne m’a jamais quittée. Lors de mes déplacements à l’étranger, j’essaie autant que possible de trouver un spot où pratiquer la plongée.”

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Piquée à l’oxygène et à la beauté et au silence des fonds marins, Estelle Lefébure n’est pas la seule à être contaminée dans son entourage puisque son garçon, Giuliano (14 ans, né de sa relation avec Pascal Ramette) est également mordu de la discipline : “Avec mon fils à qui j’ai transmis le virus, je me rends aussi dans le sud : sur la presqu’île de Giens, à Juan-les-Pins ou sur la côte bleue près de Marseille.” Des paysages parfaits pour assouvir sa passion dévorante.