Pour de nombreuses personnes, le 1er septembre est synonyme de rentrée scolaire mais pour Fabienne Carat, la journée rime avec rendez-vous au commissariat. Et la raison de ce déplacement n'est vraiment pas réjouissante comme elle l'a expliqué en story de son compte Instagram il y a quelques heures.
L'ex-star de Plus belle la vie qui file le parfait amour avec Alain, ancien candidat de Mariés au premier regard 2021, a été arnaquée et pas qu'un peu. Après avoir témoigné auprès des policiers, elle a décidé de se filmer et a tout raconté à ses abonnés. Le but ? Les mettre en garde.
La voix posée et toujours aussi belle, l'actrice de 43 ans n'a pas caché être déçue et a décidé d'expliquer dans les détails l'arnaque dont elle a été victime : "Je sors du commissariat pour un truc qui n'est pas très rigolo. J'ai été victime d'une grosse fraude sur mon compte bancaire donc juste pour vous dire que si vous recevez un SMS de l'assurance maladie pour actualiser votre carte vitale qui va expirer dans 24h, qu'on vous demande de rentrer vos coordonnées bancaires, ne faites pas la même bêtise que moi." Fabienne Carat insiste ensuite sur le fait que ses fans ne doivent jamais remplir ce formulaire ou payer en ligne afin qu'on leur re-expédie leur carte vitale.
Après qu'elle a commis cette erreur, la maman de Céleste, née en décembre 2021, a ensuite raconté avoir été contactée par les fraudeurs : "Ca a été très très long pour gagner ma confiance mais ils ont réussi à faire des gros paiements en ligne, des virements aussi donc ne faites pas comme moi, soyez vigilants, ils sont très doués, très forts et très rassurants." Tout ce que veut Fabienne Carat à présent c'est que personne d'autre ne se fasse avoir.
La comédienne pourra en tout cas compter sur le soutien de son compagnon Alain qui, quelques heures plus tôt, a dévoilé une nouvelle et adorable photo. Sur celle-ci, il tient Céleste dans les bras et Fabienne Carat l'enlace avec les siens. Une jolie image de famille recomposée. Un bonheur pour Fabienne Carat qui a été triste d'apprendre que le père de son enfant n'a pas souhaité l'élever.