Depuis son lancement, l'émission Familles nombreuses, la vie en XXL rencontre un grand succès sur TF1. Les candidats passionnent également sur les réseaux sociaux mais leur grande popularité connaît parfois ses limites. En effet, les tribus mises en avant se retrouvent souvent sous le feu des critiques en raison des allocations familiales qu'elles perçoivent toutes.
Diana Blois et les siens n'échappent pas aux remarques désobligeantes de certains internautes. "Ça a été les premiers messages qu'on a pu recevoir", a-t-elle révélé au cours d'un entretien avec Jordan De Luxe dans Chez Jordan, en partenariat avec Télé Loisirs. "C'est ancré dans la tête des gens", regrette aujourd'hui son mari Gérôme, avec qui elle est à la tête d'un clan recomposé de 9 enfants. Et pour Diana de préciser : "Dès qu'on fait quelque chose, c'est merci les allocs. Tu pars en vacances, merci les allocs...".
Pourtant, contrairement à ce que les gens pourraient penser, l'aide de l'État est bien loin de leur permettre d'assurer leur quotidien. "Tu ne vis pas des allocations familiales", a tenu à corriger Diana Blois. Elle reconnaît malgré tout avoir été sauvée par cette aide lorsqu'elle s'est séparée de son premier compagnon, se retrouvant alors seule avec ses sept premiers enfants. "En l'occurrence, moi, la seule période où j'ai vécu grâce aux allocations familiales, c'est quand j'étais maman solo avec mes sept enfants. J'avais des jumelles qui venaient de naître, elles étaient tout bébé... Et j'avais beau avoir des allocations familiales, ce n'était pas non plus le nirvana. Ça me permettait de survivre, et ça, merci la France. Parce qu'effectivement, ça m'a sauvée en tant que maman solo", a-t-elle reconnu. Et de conclure : "Ce n'est pas les allocations familiales qui vous font partir aux Caraïbes".
Diana Blois n'est pas la seule à avoir dû faire une mise au point concernant les allocations familiales. Dans le passé, Amandine Pellissard se défendait également de trop en profiter, rappelant au passage que s'occuper à temps plein d'une ribambelle d'enfants était un vrai métier en soi.