Faustine Bollaert passe une grande partie de son année à écouter les autres, leur apporter du soutien et les épauler dans les moments difficiles pour les besoins de son émission Ça commence aujourd'hui. En récupérant les rênes de ce programme de l'après-midi de France 2, l'animatrice de 43 ans a admis que prendre du recul sur certaines situations n'était pas simple tous les jours. Qui plus est quand certaines des personnes venues sur le plateau disparaissent.
Son équilibre et son mental d'acier, Faustine Bollaert le puise auprès de sa famille : son mari Maxime Chattam, leurs deux enfants Abbie, 9 ans et Peter, 7 ans et son grand-frère Charles. Pour recharger les batteries encore plus que d'habitude, toute la troupe s'est fait plaisir en s'offrant un voyage en Californie où la star de France 2 a vendu du rêve à ses têtes blondes comme elle l'a prouvé sur son compte Instagram. En effet, le clan Bollaert-Chattam a pris la direction du monde magique de Harry Potter, situé dans les studios d'Universal à Los Angeles.
Sur le dernier post de Faustine Bollaert, on découvre Abbie et Peter, de dos, le doigt pointé vers le château de Poudlard, mythique école des sorciers : "Redécouvrir le monde à travers leurs yeux", écrit-elle en légende du cliché. Dans sa story Instagram (voir diaporama), la présentatrice a également posé tout sourire avec son frère Charles, dont la compagne n'est autre qu'une star de téléréalité. Elle a aussi dévoilé un cliché de lui enlaçant tendrement son neveu dans les bras devant une attraction. Un amour qui fait plaisir à voir.
Pour Faustine Bollaert, la famille, c'est sacré. Elle a donc aménagé son emploi du temps pour faire en sorte de passer le plus de temps possible avec eux : "Les lundis et les mercredis, je travaille chez moi pour pouvoir accompagner ma fille au foot et mon fils au cheval, leur préparer leur goûter... J'ai besoin de ces moments à moi pour pouvoir ensuite enchaîner les tournages." Et quand elle n'est pas là, tous les moyens sont bons pour se faire aussi présente que possible : "Je ne compte plus les petits mots que je glisse dans les cartables, sous les oreillers pour compenser mes absences." Une maman en or.