Déjà les noces de coquelicot pour Faustine Bollaert et Maxime Chattam ! Il y a huit ans, le couple se disait "oui" à Paris, le 1er septembre 2012, d'une manière originale et qui lui ressemble, à proximité d'un cimetière.
Pour célébrer ce nouveau cap, l'animatrice de France 2 de 41 ans a partagé une photo inédite de ce grand jour sur son compte Instagram. Elle y apparaît seule, de dos et vêtue de sa robe de mariée, signée Celestina Agostino. Difficile de savoir si elle se préparait à déclarer ses voeux à son homme ou si elle venait tout juste de sceller leur histoire, mais quoi qu'il en soit, Faustine Bollaert était à ce moment précis sur un petit nuage. "Une robe. Une vie. Que de souvenirs", légende-t-elle avec une certaine émotion. "C'était une très jolie robe", "Trop belle", "Magnifique", "Sublime la robe comme la mariée", "Une princesse", s'extasient ses fidèles abonnés en commentaires.
Peu de temps avant, c'est un cliché romantique au côté de son mari, l'écrivain de romans policiers, qu'elle postait. Côte à côte, les cheveux au vent, les amoureux sont pris en flagrant délit de bonheur alors qu'ils contemplent l'horizon le sourire aux lèvres, espérant sans doute fêter pendant encore très longtemps leurs anniversaires de mariage.
Tout est allé très vite entre Faustine Bollaert et Maxime Chattam. Trois mois seulement après leur coup de foudre sur les ondes d'Europe 1, ce dernier lui faisait sa demande. "Je ne m'y attendais pas. Cela m'a prise de court et m'a obligée à faire confiance et à suivre mes émotions", avait reconnu sa bien-aimée lors d'une interview pour Télé 7 jours. La naissance de leurs deux enfants - la petite Abbie (7 ans) et son frère Peter (5 ans) - avait rapidement suivi.
C'est à quatre qu'ils se sont confinés pendant un peu plus de deux mois. Et malgré la situation menaçante, Faustine Bollaert avait apprécié cette pause forcée, comme elle le révélait pour le magazine Nous deux. "J'ai appris qu'on s'entendait tous très bien. Il n'y a jamais de cris à la maison, nous n'avons pas connu de grosses disputes, de crises... Nous sommes soudés. Les enfants sont bien dans leur peau et sont restés préservés de cette ambiance. La situation m'a confortée dans l'idée que nous étions une famille sereine."