Alors que la télé réalité continue de connaître de belles heures sur le petit écran, Félicien Taris, lui, a vécu les débuts de cette nouvelle ère, en participant à Loft Story 2, en 2002. Alors qu'il révélait il y a quelques mois le salaire – en francs – qu'il avait perçu à l'époque, il revient cette fois-ci, pour Le Grand direct des médias d'Europe 1, sur ce que lui a apporté – et enlevé – l'émission de M6.
J'ai perdu des potes...
Pas question pour l'ex-candidat de cracher sur l'émission. "Tant que cette image du Loft me collait à la peau, elle me rapportait de l'argent. Il ne faut pas cracher dessus. J'ai sorti une chanson qui a très bien marché", explique-t-il. Mais il reconnaît avoir perdu des amis à la suite de cette nouvelle célébrité. "Certains de ces requins étaient en fait des amis. On perd toujours des amis quand il y a de l'argent. Les amis qui veulent mon bien veulent surtout mes biens. J'ai perdu des potes. Me faire avoir, ça me dérange un peu", a indiqué l'auteur de la Cum cum mania.
Plusieurs centaines de milliers d'euros.
Il avoue néanmoins que Loft Story 2 a changé sa vie. "C'est grâce à ça que je me suis installé à Paris. C'est le départ d'une nouvelle vie", a confié Félicien. Reparlant de son salaire, il a reconnu avoir gagné plusieurs centaines de milliers d'euros grâce à sa chanson de potes, la Cum cum mania, qui lui "rapporte encore aujourd'hui", et les tournées.
Et aujourd'hui, il peut vivre de sa passion. Depuis, Félicien s'est en effet reconverti dans l'écriture et a notamment sorti en 2013 un livre sur le rugby France / All Blacks - Toute une histoire. Il produit des documentaires dans le domaine du sport et de la musique. Il souhaiterait même remonter sur scène ! En rouge et blanc ?