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Ce samedi 29 mars, Nikos Aliagas et Sandrine Quétier prenaient les commandes d'un nouveau numéro de 50 Minutes Inside dès 18h50. Les caméras du rendez-vous people de TF1 sont parties au Bénin aux côtés de notre jolie Miss France 2014, Flora Coquerel. Après avoir participé à un voyage inoubliable au Panama, elle s'est envolée pour cette région d'Afrique où vit une partie de sa famille. L'occasion de retrouver avec émotion sa grand-mère mais aussi de soutenir l'association de ses parents.
Tout commence près de Chartres. Miss France et son papa se remémorent les souvenirs familiaux à l'aide d'un album photos. Grand-parents, arrières-grands-parents... Les souvenirs se bousculent dans l'esprit de la jeune ambassadrice de l'élégance française. Son dernier voyage sur les terres de sa famille remonte à l'été 2007. A l'époque, elle avait 12 ans.
"Je suis pressée de voir ce qui m'attend. Les connaissant, ils ont dû faire les choses en grand. J'ai même peur que ce soit un peu trop grand et trop démesuré... J'ai tellement hâte d'y être !", s'exclame Flora, enthousiaste peu avant le départ.
Direction Cotonou, la capitale du Bénin. Pour ses premiers pas de Miss en terre africaine, l'accueil est à la hauteur de l'événement et son arrivée a fait la une de la presse nationale. Un dispositif similaire à celui réservé aux chefs d'états est déployé pour sa venue. Après une visite dans une maternité, elle rencontrera le président local à qui elle a réservé un petit cadeau : une gravure représentant Chartres et ses symboles.
Pas de temps à perdre pour Flora Coquerel : elle doit encore parcourir 450 kilomètres pour retrouver sa famille... Un périple bouleversant pour la séduisante Flora. Six heures de route plus tard, c'est émue qu'elle se blottit dans les bras de sa grand-mère. Il a beau être tard dans la nuit, tout le monde a veillé pour l'accueillir.
Emblème de son engagement humanitaire, un point d'accès à l'eau potable sera inauguré au cours de sa venue. Pour continuer l'action caritative entamée au Bénin par ses parents, qui ont fait construire trois écoles au Bénin, elle s'apprête à ouvrir sa propre association au Bénin et ambitionne de faire construire une maternité dans ce pays où le taux décès en couche (mortalité des mères au moment de l'accouchement) est 55 fois supérieure à celui enregistré en France.
Joachim Ohnona
Tout commence près de Chartres. Miss France et son papa se remémorent les souvenirs familiaux à l'aide d'un album photos. Grand-parents, arrières-grands-parents... Les souvenirs se bousculent dans l'esprit de la jeune ambassadrice de l'élégance française. Son dernier voyage sur les terres de sa famille remonte à l'été 2007. A l'époque, elle avait 12 ans.
"Je suis pressée de voir ce qui m'attend. Les connaissant, ils ont dû faire les choses en grand. J'ai même peur que ce soit un peu trop grand et trop démesuré... J'ai tellement hâte d'y être !", s'exclame Flora, enthousiaste peu avant le départ.
Direction Cotonou, la capitale du Bénin. Pour ses premiers pas de Miss en terre africaine, l'accueil est à la hauteur de l'événement et son arrivée a fait la une de la presse nationale. Un dispositif similaire à celui réservé aux chefs d'états est déployé pour sa venue. Après une visite dans une maternité, elle rencontrera le président local à qui elle a réservé un petit cadeau : une gravure représentant Chartres et ses symboles.
Pas de temps à perdre pour Flora Coquerel : elle doit encore parcourir 450 kilomètres pour retrouver sa famille... Un périple bouleversant pour la séduisante Flora. Six heures de route plus tard, c'est émue qu'elle se blottit dans les bras de sa grand-mère. Il a beau être tard dans la nuit, tout le monde a veillé pour l'accueillir.
Emblème de son engagement humanitaire, un point d'accès à l'eau potable sera inauguré au cours de sa venue. Pour continuer l'action caritative entamée au Bénin par ses parents, qui ont fait construire trois écoles au Bénin, elle s'apprête à ouvrir sa propre association au Bénin et ambitionne de faire construire une maternité dans ce pays où le taux décès en couche (mortalité des mères au moment de l'accouchement) est 55 fois supérieure à celui enregistré en France.
Joachim Ohnona