Il est l'un des quarterbacks préférés des amateurs de football américain, pourtant Gisele Bündchen ne rêve que d'une chose : que son mari Tom Brady prenne sa retraite. Le célèbre top brésilien de 36 ans a justifié sa position le 17 mai dernier lors de son passage dans l'émission matinale CBS This Morning.
Invitée pour parler d'un tout autre sujet qui lui tient tout particulièrement à coeur, la sortie du livre Drawdown de l'écologiste Paul Hawken, Gisele Bündchen a accepté de dériver vers le sujet "Tom Brady". Lorsqu'il lui est demandé de revenir sur sa volonté de voir son mari arrêter, le mannequin évoque des faits jusque-là inconnus. "Il a eu une commotion cérébrale en 2016, il en a eu presque tous les..., nous n'en parlons pas, il a eu des commotions", a-t-elle déclaré en direct. "Je ne pense pas que cela soit très bon pour votre corps, toute cette agressivité tout le temps, ce n'est pas une bonne chose pour lui", a-t-elle ajouté, ne cachant pas son inquiétude mise sur le compte de l'amour. "Je tiens à ce qu'il reste en bonne santé et que nous continuions à faire des choses amusantes jusqu'à nos 100 ans", a insisté Gisele Bündchen qui a épousé Tom Brady en 2009 et a eu deux enfants avec lui, les adorables Vivian et Benjamin.
À peine ce pavé a-t-il été lâché dans la mare, que la NFL (National Football League) n'a pas tardé à réagir. Brian McCarthy, porte-parole de la NFL, a ainsi déclaré dans un communiqué : "Il n'existe aucun dossier qui indique que Tom Brady a souffert d'une blessure à la tête ou d'une commotion cérébrale ou qu'il s'est plaint de quelconques symptômes."
"Nous sommes dès à présent en contact avec NFLPA (National Football League Players Association) et travaillerons ensemble pour obtenir de plus amples informations de la part de l'équipe médicale du club [les New England Patriots, NDLR] et de monsieur Brady. La santé et la sécurité de nos joueurs est notre principale priorité et voulons nous assurer que tous nos joueurs reçoivent, et continuent de recevoir, la meilleure prise en charge possible", a-t-il assuré. Preuve que le sujet des violences liées au football américain est encore très sensible outre-Atlantique.