Il fait partie de l'émission depuis 2017. Harold Hessel est l'un des commissaires-priseurs d'Affaire Conclue (France 2). Et en 2019, il a vécu un moment dont il se souviendra durant un bon moment. Il a été victime d'un malaise, un événement sur lequel il est revenu à l'occasion d'une interview pour Femme Actuelle.
C'est une scène que les téléspectateurs de France 2 ont pu découvrir lors de l'épisode du 30 avril 2019. Serge, un quadragénaire venu des Alpes-Maritimes, est venu sur le plateau d'Affaire conclue avec un angiostéromètre, un instrument médical permettant d'examiner les vaisseaux sanguins par pression, dans l'espoir de le vendre à un très bon prix. Harold Hessel était chargé de l'expertiser, mais tout ne s'est pas passé comme prévu.
Le commissaire-priseur s'est rapidement mis en retrait avant de faire un malaise vagal et de quitter le plateau. "Ça va aller, ne vous inquiétez pas, on s'occupe de lui", a confié Sophie Davant (qui était aux commandes du programme à l'époque), peu de temps après sa sortie. Puis, il a fini par faire son retour. Une séquence filmée et diffusée.
Si Harold Hessel était si mal à la vue de l'angiostéromètre, c'est parce qu'il est hématophobe. Comprenez là qu'il a une peur irrationnelle du sang. "Je dois dire que je n'ai plus eu à expertiser un seul objet médical depuis cet évènement. C'est une vraie gêne pour moi de parler de circulation sanguine. Je me suis retrouvé un peu décontenancé. Cela a marqué les esprits", a-t-il confié à Femme Actuelle en 2019. Par la suite, le charmant brun a reçu de nombreux messages de soutien. Des attentions qui l'ont touché. "Heureusement, ce n'est pas très handicapant pour mon métier, il y a très peu d'objets médicaux à expertiser et encore moins liés au sang", a-t-il conclu.
A la suite de cette séquence, la production avait été contactée afin d'expliquer pour quelle raison la scène n'avait pas été coupée. Elle a expliqué qu'Harold Hessel "n'a pas vraiment fait un malaise". "Il s'agit surtout d'une forte émotion ressentie au moment de la présentation de l'objet. Chez lui, un sujet médical déclenche ce type de réaction, comme quelqu'un qui aurait une phobie des serpents par exemple", était-il précisé.