Jean-Pierre Castaldi en septembre 2010© BestImage
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Avec son physique imposant et son franc-parler, Jean-Pierre Castaldi fait partie de ces personnalités qui ne passent pas inaperçues. A 66 ans, il joue sur scène dans la pièce de Sacha Guitry, Tu m'as sauvé la vie, et s'est confié dans une autobiographie, Aux hasards de ma vie. De quoi prouver son talent et qui il est. Pour France-Soir, il tente d'expliquer pourquoi cinéma et télévision le boudent et se penche aussi sur la politique. Extraits.
Jean-Pierre Castaldi a fait partie de l'aventure du premier film adapté des aventures d'Astérix en 1999, réalisé par Claude Zidi. Après son rôle de Caius Bonus, il a vécu deux ans de chômage, à part un rôle au cinéma et, dans le troisième épisode du Gaulois, il a tourné une scène de cinq secondes : "La seule qui fait rire d'ailleurs", précise-t-il.
Selon Jean-Pierre Castaldi, "ce sont les réalisateurs qui décident qui sont les vedettes". Puis, il explique : "Depuis que j'ai fait la Première compagnie sur TF1, on me le reproche. J'ai participé à Fort Boyard, le cinéma me l'a fait payer très cher."
Son franc-parler l'entraîne ensuite sur un autre sujet quand il affirme ne pas aimer le langage consensuel du moment : "Quand on dit que les acteurs sont de gauche et qu'on tape sur Sarkozy. Maintenant, quand il pleut, c'est de sa faute. On découvre tout dans ce pays, comme par exemple qu'Anne Sinclair est multimilliardaire. Je le sais depuis longtemps mais comme elle est associée au Parti socialiste, on n'en parle pas." Quant à l'affaire qui a frappé son mari, Dominique Strauss-Kahn, Castaldi impose son point de vue : "Ce n'est pas un violeur."
Pour apprécier son talent, il faut se rendre sur la scène du théâtre de la Pépinière.
Jean-Pierre Castaldi a fait partie de l'aventure du premier film adapté des aventures d'Astérix en 1999, réalisé par Claude Zidi. Après son rôle de Caius Bonus, il a vécu deux ans de chômage, à part un rôle au cinéma et, dans le troisième épisode du Gaulois, il a tourné une scène de cinq secondes : "La seule qui fait rire d'ailleurs", précise-t-il.
Selon Jean-Pierre Castaldi, "ce sont les réalisateurs qui décident qui sont les vedettes". Puis, il explique : "Depuis que j'ai fait la Première compagnie sur TF1, on me le reproche. J'ai participé à Fort Boyard, le cinéma me l'a fait payer très cher."
Son franc-parler l'entraîne ensuite sur un autre sujet quand il affirme ne pas aimer le langage consensuel du moment : "Quand on dit que les acteurs sont de gauche et qu'on tape sur Sarkozy. Maintenant, quand il pleut, c'est de sa faute. On découvre tout dans ce pays, comme par exemple qu'Anne Sinclair est multimilliardaire. Je le sais depuis longtemps mais comme elle est associée au Parti socialiste, on n'en parle pas." Quant à l'affaire qui a frappé son mari, Dominique Strauss-Kahn, Castaldi impose son point de vue : "Ce n'est pas un violeur."
Pour apprécier son talent, il faut se rendre sur la scène du théâtre de la Pépinière.