De retour sur le grand écran dans le film À la vie, Julie Depardieu incarne une ancienne déportée d'Auschwitz qui retrouve deux anciennes survivantes. On est en 1960, elles ne s'étaient pas revues depuis la guerre et se retrouvent à Berck-Plage. Dans cette parenthèse de quelques jours, tout est une première fois pour Hélène, Rose et Lili : leur premier vrai repas ensemble, leur première glace, leur premier bain de mer... Une semaine de rires, de chansons mais aussi de disputes et d'histoires d'amour et d'amitié...
Lundi 24 novembre, c'est à Paris que la comédienne présentait son film au côté du réalisateur Jean-Jacques Zilbermann, de son complice Hippolyte Girardot ainsi que des acteurs Mathias Mlekuz et Benjamin Wangermee. Le film doit sortir le 26 novembre dans nos salles. Et c'est donc radieuse et pétillante que Julie Depardieu défendait ce long métrage. L'actrice de 41 ans multiplie d'ailleurs les apparitions médiatiques.
Récemment, c'est au micro d'Europe 1 qu'elle s'est fait remarquer. Face à Marion Ruggieri dans l'émission Il n'y en a pas deux comme elle, Julie Depardieu a évoqué son père à deux reprises, non sans, d'ailleurs, quelques hésitations. Elle s'est tout d'abord dite "gênée" par Welcome to New York qu'elle avait visiblement vu à Cannes. Mais la fille de Gérard Depardieu explique n'avoir regardé que le début, avant d'avouer : "J'ai pris le parti de ne rien voir, j'ai dormi en fait. Voyez, je suis bien élevée."
Elle fera de même avec l'autobiographie que son éminent père vient de sortir dans les bonnes librairies françaises. L'intéressée avoue l'avoir achetée mais ne pas l'avoir encore lue. En cause, une vision des choses discordantes. "Il l'a vécu comme ça, moi pas du tout, donc je vais fermer, c'est pas grave", assure-t-elle, sans rancune vis-à-vis de son père qui retrace sa vie, de ses souvenirs de jeunesse – où il se prostituait – à ses anecdotes de cinéma, lui qui est tombé totalement par hasard dans le septième art.