Il a beau vouloir tourner la page de ses frasques passées, Justin Bieber est loin d'en avoir fini avec la justice.
Le chanteur canadien de 21 ans, sous le coup d'un mandat d'arrêt international lancé à son encontre par l'Argentine, n'est pas passé loin de l'arrestation. Selon les informations du quotidien La Repubblica, le chanteur est à Rome et la police italienne s'est présentée à son hôtel dans l'idée de procéder à son arrestation. Interrogée par l'AFP, la préfecture de police de Rome a démenti l'interpellation du jeune homme. Toutefois, les agents de police "chercheraient à comprendre si le mandat des autorités argentines est toujours valable et quels sont les accords dans ce domaine entre les deux pays", précise le Corriere della Serra. Le pire est à craindre...
Justin Bieber est actuellement en déplacement dans la capitale italienne pour tourner un clip ainsi que quelques scènes du film Zoolander 2 auquel il participe, aux côtés des têtes d'affiche Ben Stiller et Penélope Cruz. Il devrait quitter Rome d'ici la fin de la semaine, à moins que les autorités italiennes n'en décident autrement.
Ses ennuis judiciaires ne s'arrêtent pas là. Poursuivi l'an dernier par Jeffrey Binion, un photographe qui accusait son garde du corps de l'avoir tabassé pour récupérer sa carte mémoire, Justin Bieber est finalement parvenu à un accord financier à l'amiable avec celui-ci.
Mais il risque une nouvelle fois d'être inquiété parce qu'il s'est incrusté à un bal de promo organisé dans un lycée américain. C'est l'histoire improbable que les lycéens de Chatsworth Charter pourront fièrement raconter à leurs petits-enfants, puisqu'ils ont eu l'immense surprise de voir débouler l'idole des jeunes à leur bal de promo. Selon les informations de TMZ, Justin Bieber était en train d'enregistrer dans le même bâtiment et s'est invité à la fête. Ce qui a fait le bonheur des jeunes a causé le malheur des parents, lesquels ont craint une émeute et des troubles à la sécurité de leurs tendres petits. Personne n'ayant été blessé, Justin s'en tire avec un simple avertissement. Tout est bien, qui finit bien.
Coline Chavaroche