Justin Bieber : 'Heartbreaker' lance ses 'Music Mondays' et vise Selena Gomez

Alors que son escapade sur le continent asiatique, avec sa tournée Believe Tour, s'approche doucement de la fin, Justin Bieber vient d'inaugurer un nouveau concept marketing et musical intitulé : Music Mondays. Le jeune homme diffuse ainsi, chaque lundi, une chanson inédite et cela pendant dix semaines de suite. La première chanson est Heartbreaker. Un titre qui parle de rupture et dans lequel il vise Selena Gomez.

"C'est une chanson pour les gens qui traversent une rupture - comme moi quand je l'ai écrite. Cela signifie tellement pour moi d'être capable de partager ce que je traversais et continue de traverser, avec mes fans. Je suis vraiment fier de ce titre et j'espère qu'il donnera à mes fans un peu de qu'il y a dans mon coeur", a expliqué Justin Bieber sur le site iTunes, à propos de Heartbreaker. Le jeune homme s'était montré très excité à l'idée de partager le son de cette chanson dépourvue de clip. C'est sur Twitter, comme à son habitude, qu'il a fait part du lancement de son projet à ses 45 millions de followers. "Moins de 24 heures, minuit sur la Côte Est #MusicMondays #10weeks #heartbreaker, vous êtes prêts ??!! Ces chansons sont différentes. Elles sont mon #journal", a-t-il écrit. Et pour cause, les paroles de Heartbreaker font référence à son histoire d'amour terminée avec la jeune et jolie Selena Gomez...

"Tu me vois attendre ici, attendre sous la pluie, oh bébé. Aucune chance que tu puisses rester ici ? Et ne jamais partir ? Tu dis que tu ne veux pas parler mais c'est cool. J'ai pensé à toi toute la journée, espérant que tu décroches ton téléphone. Et je sais que je ne veux pas perdre ton amour, oh bébé", écrit notamment Justin Bieber dans le titre Heartbreaker. Comment ne pas voir les dégâts de la relation chaotique entre le beau gosse et la nouvelle star de la musique pop made in USA, Selena Gomez ?

Ce lundi 7 octobre 2013, Justin Bieber est en concert au Japon. Le jeune homme restera en Asie jusqu'au 12 avant de se rendre en Amérique latine à partir du 19.

Thomas Montet