Selena Gomez, sans artifice et survitaminée, électrise le Zénith de Paris !

Après un passage par les pays nordiques puis par Amsterdam (Pays-Bas) et Anvers (Belgique) avec son Stars Dance Tour, Selena Gomez posait ses valises à Paris, ce jeudi 5 septembre, pour le premier concert français de sa carrière.

C'est par milliers que ses fans sont venus l'acclamer sur la scène du Zénith de Paris. Un public surchauffé (et une salle non climatisée !), au bord de l'hystérie quand la gamine Disney apparaît dans un nuage de fumée. Les cris suraigus flirtaient avec les ultrasons. Une meute de chiens aurait pu débouler que ça ne nous aurait pas étonnés !

Enchaînant les nouveaux titres extraits de son opus Stars Dance, fraîchement sorti, et les tubes plus anciens comme I Love You Like A Love Song, Naturally ou Who Says, repris en choeur par le public, Selena Gomez se dandine flanquée de deux choristes et de quelques danseuses court vêtues. Les chorégraphies sont simples mais efficaces. Le show est agréable et divertissant, mais loin des surproductions américaines à la Justin Bieber (son ex !), ou Britney Spears, où la pyrotechnie côtoie les changements de costume à répétition et les mises en scène démesurées. Pour Selena, deux tenues suffisent. Et pour la troisième, on ajoute un petit haut sur le précédent, ça fera l'affaire...

Il n'en faut pas plus pour que les fans soient comblés car, au fond, c'est l'artiste qu'ils sont venus applaudir... L'affluence au stand de merchandising à la fin du concert en est la preuve, s'il en fallait une : certains n'hésitent pas à faire la queue pendant une trentaine de minutes pour décrocher un poster, un programme de tournée ou un porte-clefs.

Quelques heures avant son show sur la scène du Zénith de Paris, Selena était de passage par les studios de NRJ pour une interview... L'occasion de croiser quelques fans qui faisaient le pied de grue devant les locaux de la radio musicale et de poser avec eux pour quelques clichés rigolos !

Prochaine étape du Stars Dance Tour : les 7 et 8 septembre à la Hammersmith Apollo de Londres.

Joachim Ohnona