Qualifiée d'"emmerdeuse" par son ancienne boss, la créatrice de Grey's Anatomy Shonda Rhimes, Katherine Heigl aurait bien misé sur State of Affairs pour s'offrir un petit rayon de soleil dans une carrière qui bat franchement de l'aile. C'était sans compter sur la critique qui a descendu sa série dans la veine d'Homeland. Fort heureusement pour l'actrice de 36 ans, il y a la famille.
La belle blonde a trouvé du réconfort auprès de ses deux filles, la grande Naleigh (6 ans, dont le vrai prénom est Nancy Leigh) et Adalaide Marie Hope (2 ans), toutes deux adoptées par la comédienne et son mari musicien Josh Kelley. Katherine Heigl a été vue au LAX Airport ce mercredi 17 décembre en compagnie de ses deux princesses, mais également de son premier supporter, sa propre mère, Nancy, ainsi que de la nounou.
Avec ses deux fillettes sur les talons, Katherine Heigl semblait très heureuse et n'a pas manqué de leurs adresser sourires et gestes d'affection, notamment à l'adorable Adalaide, une vraie "piplette" selon la maman poule.
Voilà de quoi oublier qu'elle est de nouveau dans l'oeil du cylone. L'ex-star du petit écran et ancienne actrice bankable de la comédie US (avant d'empiler les nanars et qu'on ne lui propose plus de rôles), a subi les foudres de Shonda Rhimes. Elle n'avait toutefois pas manqué de répondre. "Non, je ne suis pas une diva. Je pourrais vous dire que je ne pense pas l'être, mais je sais que je ne le suis pas. Je ne suis pas une personne impolie. Je ne suis pas une personne méchante. Je ne cherche pas à blesser consciemment les sentiments des gens, ni à les rendre mal à l'aise ou à ne pas faire mon travail", a-t-elle déclaré à la journaliste Katie Couric. Avant de se montrer plus virulente à l'égard de Rhimes : "Je continuerai à m'affirmer, je n'arrêterai jamais de défendre mon droit d'être entendue, d'être traitée avec respect en retour, mon droit de poser des limites. Je suis une femme forte et je ne vais pas m'excuser pour ça. Je dois le faire au nom de mes deux filles et de toutes les femmes qui sont assises ici. Nous devrions toutes avoir le droit de dire : 'Non, je ne suis pas à l'aise avec ça, ou non je ne suis pas d'accord', sans passer pour une salope."