Laurence Boccolini a réalisé son plus grand rêve : devenir maman ! L'animatrice de télévision, qui fait face régulièrement au stress des candidats dans Money Drop (TF1), a dévoilé la grande nouvelle en diffusant une photo de son adorable bébé sur son compte Twitter.
Laurence Boccolini n'a jamais caché son rêve de devenir mère un jour. En mars 2008, elle dévoilait en effet un lourd secret dans un ouvrage très intime, Puisque les cigognes ont perdu mon adresse : sa stérilité. Mais ce que la maman n'a jamais révélé depuis, c'est qu'elle avait entamé des démarches en vue d'adopter. Sur son compte Twitter, Laurence Boccolini a aujourd'hui, lundi 25 novembre, montré au monde entier que ces dernières avait enfin abouti et qu'elle avait l'heureux bonheur de tenir dans ses bras son enfant, une petite fille.
Son prénom ? Willow ! Sur le réseaux social, la présentatrice a en effet rédigé : "Enfin ! Ma fille Willow est là. Il n'y aura ni itv ni (autre) photo car Son histoire n'appartient qu'à elle. LOVE." Laurence Boccolini a attendu tellement longtemps pour devenir mère qu'elle compte bien protéger au maximum sa petite.
Sur l'unique cliché dévoilé, on peut voir l'adorable nouveau-né, les yeux légèrement ouverts, lové dans les bras de sa maman qui se tient de dos et qui met en évidence le tatouage dans le cou "Kiss me", "embrasse-moi" en français.
Si depuis quelques années, Laurence Boccolini avait révélé avoir "appris à faire le deuil d'un enfant", elle peut donc se réjouir aujourd'hui et profiter pleinement des joies de la maternité. Une longue attente et une profonde douleur qu'elle avait décrites avec franchise dans son ouvrage : "À 10 ans, je voulais 11 enfants. À 15 ans, je revoyais le tout à la baisse, et 6 enfants me semblaient représenter le chiffre du bonheur familial. À 20 ans, je penchais plutôt pour 3 enfants (2 garçons et 1 fille), dans un idéal politiquement correct. Aujourd'hui, à 44 ans, 1 seul enfant comblerait le vide immense de mes bras. Mais cela tiendrait du miracle... Parce que, longtemps, j'ai eu la prétention de croire que la vie m'obéirait toujours au doigt et à l'oeil et qu'il suffirait de décider les choses pour qu'elles arrivent. Je fus, lorsque la réalité me frappa de plein fouet, comment dire... quelque peu contrariée. (...) Alors, puisque les cigognes ont perdu mon adresse, que je puisse au moins leur dire deux mots, afin qu'elles sachent que quelque chose en moi ne cessera jamais de les attendre..."
Toutes nos félicitations à Laurence Boccolini !
Sarah Rahimipour