Du lundi au vendredi à 19h05, Laurence Boccolini prend les commandes de la nouvelle saison de Money Drop, jeu à succès de TF1. Chaque soir, pour notre plus grand plaisir, elle fait vivre une véritable angoisse à un couple. Laurence, dont l'émission était récemment victime d'un cambriolage, se confie dans les pages de Télé Poche et fait le point.
Si elle n'a jamais eu l'idée de faire de la télé, elle se révèle très bonne dans le domaine. Son émission préférée ? L'amour est dans le pré. Elle confie : "Mais attention, je ne veux en aucun cas prendre la place de Karine Le Marchand qui le fait très bien. C'est un programme extrêmement bien fait, mignon, émouvant." L'animatrice est également fan de Koh Lanta mais ne se sent pas l'âme d'une aventurière !
Très amie avec Virginie Lemoine depuis "l'époque Ruquier", Laurence Boccolini, qui a déjà fait ses preuves de comédienne dans la série Mademoiselle Joubert, n'a encore jamais envisagé de jouer à ses côtés dans Famille d'accueil. Elle déclare : "Mais j'adorerais ça ! Virginie, c'est une très bonne copine et une grande comédienne et humoriste. Je n'y avais jamais pensé, mais ce serait vraiment génial."
Alors qu'elle avouait il y a quelques années ne pas supporter ses "40 kilos en plus", elle revient sur cette question de poids : "Quand on a un physique plus compliqué comme le mien, il faut être persuasive. Si j'avais 50 kilos de moins ou 100 kilos de plus, ce serait pareil ! La télé, c'est plus simple si vous êtes canon, mais ça ne suffit pas d'être mince, comme ça ne suffit pas d'être ronde : il faut un talent. Ce qui est basé sur le physique ne tient jamais longtemps."
Enfin, Laurence Boccolini évoque les révélations qu'elle avait faites dans son livre Puisque les cigognes ont perdu mon adresse (sorti le 20 mars 2008). En effet, l'animatrice y confiait qu'elle ne pouvait pas avoir d'enfant. Aujourd'hui, elle en a fait son deuil : "J'avais besoin d'en parler, une bonne fois pour toutes. Tous les jours, on fait le deuil de quelque chose. Me concernant, j'ai appris à faire le deuil d'un enfant."
Chloé Breen