Laurent Ruquier évoque son compagnon, le mariage et l'adoption

Il est l'un des animateurs préférés des Français, Laurent Ruquier vient de publier son nouveau livre intitulé On préfère encore en rire aux éditions du Cherche-Midi. Dans cet ouvrage, l'homme de radio et de télévision, roi du bon mot, revient sur l'actualité de l'année écoulée avec son humour légendaire. De François Hollande à l'affaire Cahuzac en passant par Frigide Barjot, tout le monde en prend pour son grade !

A cette occasion, l'animateur s'est confié à nos confrères du Parisien/Aujourd'hui en France et ses lecteurs ce samedi 20 juillet. Ainsi le patron de la bande à Ruquier est-il revenu sur ses multiples activités (télévision, radio, écriture, théâtre...) et sur ce qui l'aide à tenir le rythme : "Le café. La cigarette aussi, mais là j'ai arrêté depuis cinq jours (rires). Et puis, je cours et je fais de la boxe française depuis un an. Mais c'est de la boxe de luxe, avec un coach qui n'a pas le droit de me taper."

Heureusement, notre célèbre dénicheur de talents sait se réserver des moments de calme pour se consacrer à sa vie privée et à son compagnon. "Je décroche le week-end [...] Je regarde des matchs de foot. Sinon, je glande, je m'occupe de mon chien, je reçois des copains... J'ai mon ami aussi : comme il est cavalier, je vais voir des concours", confie-t-il.

Concernant sa vision du récent débat sur le mariage pour tous et la PMA, le présentateur indique : "C'était normal qu'il y ait un débat, mais j'ai trouvé que les manifestations contre ne sentaient pas toujours très bon [...] Quant à la PMA, c'est un autre débat, qui concerne aussi les hétéros. En parler à ce moment-là, c'était vouloir faire peur." Déjà pacsé à son amoureux, Laurent Ruquier pense-t-il au mariage ? "À partir du moment où on a à peu près les mêmes droits avec le pacs... Peut-être que ça viendra, mais je ne ferai pas partie des premiers mariés", avoue-t-il avant d'ajouter au sujet de l'adoption : "Je n'ai pas envie d'adopter. Je peux changer d'avis. Qui sait, j'ai 50 ans, il faudrait que je me dépêche... Mais ce n'est pas dans mes intentions."