Alors qu'il a été récemment la cible d'attaques sur son comportement en coulisses, Thomas Sotto continue d'orchestrer Télématin sur France 2. Sous la complicité de Louise Ekland, il en a présenté une nouvelle édition le jeudi 1er août 2024.
Comme à l'accoutumée, le générique de la première matinale de France a résonné à l'antenne de la chaîne publique à 6h29. Mais quelle ne fut pas la surprise des téléspectateurs de découvrir le plateau vide. Ni Thomas Sotto, Louise Ekland ou les chroniqueurs n'étaient présents depuis le studio des Jeux olympiques de France Télévisions, installé sur le toit du Musée de L'Homme à Paris.
Le duo d'animateurs a fini par faire son apparition, mais depuis une fenêtre. Thomas Sotto s'est empressé d'en dévoiler la raison aux fidèles téléspectateurs de l'émission où Flavie Flament va succéder à Marie Portolano. "Mais ils sont où ?! On est à la fenêtre du coup parce que ça ne vous a pas échappé, il y a un peu d'orage derrière. Donc ce n'est pas optimum niveau sécurité. On s'est mis dans la chambre...", a-t-il expliqué.
"On s'est mis dans la chambre et on va passer un bon moment. L'ambiance était au beau fixe hier, on a passé une superbe soirée", a commenté Louise Ekland avant que l'ex-animateur de BFMTV - qui va quitter Télématin pour la matinale de RTL - ne l'interrompe : "Une soirée de rêve !". "Ah oui, j'ai le souffle coupé depuis hier soir. Je n'ai pas beaucoup dormi, mais je suis en forme", a surenchéri la présentatrice franco-britannique en référence au double exploit olympique réalisé par Léon Marchand en natation.
Après avoir dévoilé le sommaire du jour de Télématin, Thomas Sotto a été rejoint par Anne-Claire Poignard. Cette dernière a présenté son premier point sur l'actualité depuis la fenêtre où son homologue a trouvé refuge. C'est depuis ce lieu que Valérie Maurice a enchaîné avec son bulletin météo du jour. L'occasion pour elle d'évoquer les raisons pour lesquelles le plateau de la matinale de France 2 a été évacué.
"On a les impacts de foudre et vous allez comprendre pourquoi on nous a obligés à rentrer. Parce que ça devient relativement dangereux. Regardez ce qui monte sur la région parisienne. C'était d'abord des précipitations très intenses. Les impacts de foudre sont les points blanc et tout ça va passer en fait....", a-t-elle détaillé tandis que des images du déplacement des orages étaient diffusées à l'antenne.